S'arc-boutant tout contre un audacieux substratum que j'abandonne à vos yeux écarquillés le soin de découvrir, notre ami Stéphane, de retour en ville comme la fantaisie ne l'en prend qu'en de trop rares circonstances, déroule au sujet de Brian Easdale l'un de ces papiers déjà millésimés que le monde entier (enfin, Cinezik, à tout le moins) reluque avec une jalousie gloutonne.
Lee Van Cleef a écrit : ↑mer. 30 juil. 2025 21:20
S'arc-boutant tout contre un audacieux substratum que j'abandonne à vos yeux écarquillés le soin de découvrir, notre ami Stéphane, de retour en ville comme la fantaisie ne l'en prend qu'en de trop rares circonstances, déroule au sujet de Brian Easdale l'un de ces papiers déjà millésimés que le monde entier (enfin, Cinezik, à tout le moins) reluque avec une jalousie gloutonne.
Merci camarade de tes louanges fleuries.
J'avais pourtant l'impression de me faire moins rare ces temps-ci...
Marie DC a écrit : ↑jeu. 24 avr. 2025 16:21
Merci pour ce dossier clair et bien documenté sur les liens entre musique contemporaine et cinéma. J’ai particulièrement apprécié la synthèse sur Steiner, Korngold et Waxman et la mise en lumière de la « Schoenberg connection » à Hollywood. Un excellent panorama qui donne envie de (re)découvrir ces partitions !
Bravo pour ce travail
Merci de cette appréciation, que je découvre seulement !
Un compositeur encore jeune et français par surcroît, soumis à confesse à propos de son récent ouvrage abattu sur la nouvelle adaptation animée des aventures d'un certain tandem de Gaulois moustachus : de prime abord, tous les ingrédients nécessaires, pour ne pas dire primordiaux, à une nouvelle interview conduite tambour battant par le chat du Cheshire. Macache ! C'est l'excellent Gégé Dastugue qui s'y colle, et nous rapporte dans le détail les multiples zigzags et louvoiements que décrivit Mathieu Alvado afin de se jouer d'un temp track plantant ses références sur sa route comme autant d'encombrants et imposants menhirs.
C'est la rentrée mais il y a tout de même une raison de se réjouir avec le retour de "A l'image de...", notre catalogue de musiques et d'images, d'autant que c'est Benjamin qui ouvre le bal dans la joie et la bonne humeur
Haricolin a écrit : ↑lun. 24 mars 2025 09:49
4 mois après, revoici les X-Men en fanfare dans mon nouvel article sur X-Men 2 de John Ottman. Bonne lecture
Chouette papier de notre Haricolin toujours prêt à croiser du gène mutant. Je le félicite pour la qualité structurelle (de plus en plus aboutie) et informative de son texte. Dans l'ensemble je suis assez d'accord avec ce qu'il y est écrit, même si j'eus pour ma part accentué ce qu'Ottman doit à Kamen (bien qu'il l'évoque en filigrane au début de son article).
En tout cas, merci et keep the fight!
Encore un article stimulant, tu arrives toujours à donner envie de replonger dans ces musiques.
Lee Van Cleef a écrit : ↑mer. 30 juil. 2025 21:20
S'arc-boutant tout contre un audacieux substratum que j'abandonne à vos yeux écarquillés le soin de découvrir, notre ami Stéphane, de retour en ville comme la fantaisie ne l'en prend qu'en de trop rares circonstances, déroule au sujet de Brian Easdale l'un de ces papiers déjà millésimés que le monde entier (enfin, Cinezik, à tout le moins) reluque avec une jalousie gloutonne.
Merci camarade de tes louanges fleuries.
J'avais pourtant l'impression de me faire moins rare ces temps-ci...
Par contre, la photo ci-dessus n'est pas celle d'Easdale mais celle du comédien David Farrar (Le Narcisse noir entre autres).
He's Back titre le journal ! On repart aux origines des mutants avec X-Men Origins: Wolverine de Harry Gregson-Williams. L'ambiance n'est plus au grand score symphonique désormais et on décortique si Henri Guillaume, fils de Grégoire, a réussi l'exercice. Bonne lecture !
Moi après vous en avoir mis plein la vue avec mon article !
Bon papier mais je ne vois pas où le thème d'ouverture fait penser à The Rock. Il serait plus aisé de le rapprocher de Narnia ou encore Kingdom of Heaven, mais The Rock je ne vois vraiment pas.
Revoilà finalement les X-Men, dont les sinistres arduités de l'écriture inclusive continuent, et c'est heureux, de ne point figurer au rang de leurs préoccupations. À l'inverse des arrivages antérieurs, la plume de Rico n'exhibe pas l'ombre d'une turgescente alacrité — pas de quoi s'étonner, vu la tronche de la pizza vitrifiée que Gregson-Williams sortit pour l'occasion du four. L'avantage, me concernant, est que ce papier punaisé tête basse dans le hall d'accueil d'UnderScores vient de me rappeler que l'édition noir & blanc de Weapon X, le chef-d'oeuvre bestial de Barry Windsor-Smith, aux antipodes de son adaptation eunuque à laquelle Rico vient donc de se frotter, cligne férocement de l'oeil dans ma direction depuis quelques mois déjà.
Et bien, on ne pourra pas accuser UnderScores de se vautrer dans le publi-rédactionnel laudateur. Tant mieux
Pour le thème de The Rock je ne peux pas juger (j'évite assidument d'écouter ce genre de score d'action), mais pour ce qui est de l'esprit de la chose (le film et sa musique), je me dis qu'on reste hélas bien loin de ce qu'avait pu m'inspirer une de ses sources principales... Une BD qui a autrement marqué son temps, et qui encore aujourd'hui n'est pas bien loin de ma pogne.