Dadid a écrit : ↑dim. 8 oct. 2023 19:24Hors film, je n'ai pas accroché au peu que j'ai entendu de lui, mais je demande à découvrir.
Tss, tss... Un limon tourbeux engluerait-il tes capacités mémorielles, ami Dadid ? J'ai souvenir, pour ma part, des ferventes remerciades autrefois adressées par toi à l'exégète numéro un du Maestro en ces nobles lieux, sur les conseils avisés duquel tu te régalas, à l'instar du vieux Van Cleef identiquement conquis, d'une percutante pièce de concert. Et si d'aventure mes allégations te trouvaient incrédule...
Janus a écrit : Je ne voulais pas écouter avant d'avoir acheté le disque mais je n'ai pas su résister à la tentation. J'ai donc écouté. Ce n'est ni proche de Peur sur la ville ni de La Cité de la Violence. Ennio Morricone aime beaucoup développer à partir d'un motif récurrent que l'esprit de l'auditeur va saisir aussitôt et qu'il va transformer à sa guise. Je ne dis pas que c'est la même chose mais, Leary, lorsque tu auras un moment, écoute cette oeuvre de concert qu'il a composée à partir d'une sirène de police. C'est vraiment une démarche très spécifique du compositeur. A un moment donné, il transforme, dans le passage le plus doux de l'oeuvre, cette sirène de police en une délicate mélodie que je trouve pour ma part extrêmement émouvante et qui revient d'ailleurs vers la fin:
Dadid, l'homme à la mémoire courte a écrit :Merci ! Je ne peux pas écouter la vidéo en entier pour le moment, mais quand le motif de 4 notes est joué par les cuivres fortissimo, sa force et sa simplicité combinées me rappellent furieusement Cape Fear de Herrmann ! Ce ne sont pas les mêmes mais 4 notes répétés aux cuivres et le fantôme de Bernie réapparait vite...
Ouf ! Bien des cataractes fluviales ont déferlé sous les ponts depuis l'époque où eut lieu ce court échange, mais la vidéo reste encore visible directement sur le Tube.
J'ai essayé Morricone en mode contemporain, si j'aime bien ses expérimentations sonores dans certains films les albums spécifiquement dédiés m'ont ennuyés au possible. Il n'a jamais percé dans ce milieu plutôt élitiste et vaniteux et c'est tant mieux , Morricone avait bien plus de genie que Boulez.
Lee Van Cleef a écrit : ↑dim. 8 oct. 2023 20:45
Un limon tourbeux engluerait-il tes capacités mémorielles, ami Dadid ? J'ai souvenir, pour ma part, des ferventes remerciades autrefois adressées par toi à l'exégète numéro un du Maestro en ces nobles lieux, sur les conseils avisés duquel tu te régalas, à l'instar du vieux Van Cleef identiquement conquis, d'une percutante pièce de concert.
Oui pour le limon (tourbé, comme la bière), j'avais oublié cette fameuse musique liée de facto au Clan des siciliens par la sirène de police. A vrai dire, c'est plus à des choses telles son Space:1999 ou des pièces comme Cadanza et Quarto Concerto que je songeais, de mémoire : voir le CD 12 du coffret GDM "Complete edition". Mais tu sais quoi ? Je vais le réécouter derechef afin d'ajouter des bretelles à la ceinture de mon pantalon, au cas où... Il me semble aussi avoir à accroché sur une œuvre liée au 11/09, dans le doc Ennio, donc...
Mortimer a écrit : ↑lun. 9 oct. 2023 17:29
Quartet annonce la sortie de Theatre of Blood de Michael J. Lewis. Pour la mi-novembre !
C'est sur leur page FB et pas le site. C'est étonnant, car La-La Land l'avait déjà sorti et le cd s'est mal vendu d'après ce que j'avais compris.
Oui pas un franc succès ce qui a peut etre enaryé des éditions plus sympa des scores de MJ Lewis très attendu au lieu d'être obligé de se contenter de ses ternes albums promos qui circulent.
Voici l'auteur et les albums dont parlait QUARTET:
We are proud to present two new albums by four-time Academy Award-nominated composer Alberto Iglesias, his very first solo albums since the iconic "Cautiva," released in 1990.
PHANTOM SONGS brings together Alberto Iglesias, countertenor Carlos Mena, pianist Juan Pérez Floristán, the London Orchestra and a choral ensemble.
ASALTO AL CASTILLO is performed by the Flemish Radio Orchestra and the Theatre of Voices, with Marin Cazacu as cello soloist.
These two ambitious works for large orchestra, chamber ensemble and voices reveal the composer's most personal, near-poetic side.
Both albums will be available on all digital platforms, and also in CD paired in a deluxe box-set with a 36-page booklet on October 27th.
Voilà, je repars dans mes grottes, avec celui-ci et The Rock, me manquera un autre cd pour fêter mon Noël et ce sera parfait. Cela dit, j'en ai commandé 250, donc faite attention au stock .
Quartet Records est fier de présenter deux tout nouveaux enregistrements du compositeur quadruple nominé aux Oscars Alberto Iglesias. PHANTOM SONGS et ASALTO AL CASTILLO sont de nouvelles compositions - toutes deux liées au travail d'autres artistes - et ses deux premiers albums solo depuis la sortie de son ballet CAUTIVA en 1990. Différentes mais complémentaires, les œuvres reflètent le style éclectique et évocateur qui a fait de lui l'un des noms les plus respectés de la musique contemporaine.
Ces dernières années, Alberto Iglesias s'est consacré au développement de ces deux albums, ouvrant les portes d'un univers qui va bien au-delà du cinématographie, où mystère, sensualité et poésie sont au service de sa musique.
ASALTO AL CASTILLO a été enregistré à Bruxelles avec le Flemish Radio Orchestra, le violoncelliste Marin Cazazu, la mezzo-soprano Iris Oja et le Théâtre des voix de Paul Hillier. C'est une œuvre vocale et orchestrale en neuf mouvements pour violoncelle, mezzo-soprano, orchestre et choeur, tandis que PHANTOM SONGS présente la prestigieuse collaboration du contre-ténor Carlos Mena, du pianiste Juan Pérez Floristán et du London Orchestra. Il est écrit pour contre-ténor, piano, chœur, ensemble et orchestre et se compose de neuf parties: quatre chansons, quatre antiphons et une courte entracte.
Les deux albums sont inclus dans un coffret de deux CD avec les deux disques dans un emballage luxueux et un livret séparé de 36 pages.
Ci-dessous, portrait de Mortimer dans sa "Chambre Velázquez", pièce de son home sweet home exclusivement dédiée aux CDs du prolifique compositeur hispanique.
Dadid a écrit : ↑ven. 3 nov. 2023 12:53
Ci-dessous, portrait de Mortimer dans sa "Chambre Velázquez", pièce de son home sweet home exclusivement dédiée aux CDs du prolifique compositeur hispanique.
C'est exactement l'espace qu'il me faudrait. S'il continue à ce rythme-là, il va bientôt dépasser mes 423 cd's de Chuck Cirino.
Plus on est nombreux à penser la même chose,
moins il vient à l'idée qu'on pourrait tous avoir tort.
Ça devient la succursale de LLL puisque les deux sont des anciens titres du label américain.Une aubaine pour ceux qui les ont loupés et forcément largement moins cher.
Plus on est nombreux à penser la même chose,
moins il vient à l'idée qu'on pourrait tous avoir tort.
Le Michael J. Lewis peut m'intéresser, il faut que j'aille écouter les extraits ! Pour Cliffhanger, je passe mon tour, étant donné que j'ai déjà les éditions Intrada et LLL...
Et bien ça roule pour Fernando Velázquez. Le dernier titre du compositeur espagnol est déjà en rupture de stock (temporairement). Ça fait plaisir de lire ça quand des magazines écrivent à longueurs d'articles que le cd ne se vend plus et ne jurent plus que par le vinyle.
Plus on est nombreux à penser la même chose,
moins il vient à l'idée qu'on pourrait tous avoir tort.
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