Cet article très intéressant replace le film multi césarisé dans son contexte réel

Abderrahmane Sissako, une imposture mauritanienne
http://www.mondafrique.com/lire/societe ... ritanienne

intéressant aussi d'apprendre que de nombreuses scènes du film sont des calques d'un documentaire du réalisateur mauritanien Lemine Ould SALEM sur Gao au Mali, dont la sortie est imminente...

http://www.arretsurimages.net/emissions ... ion-id7501

tout cela à remettre dans un certain contexte naturellement...

Walden a écrit :Cet article très intéressant replace le film multi césarisé dans son contexte réel

Abderrahmane Sissako, une imposture mauritanienne
http://www.mondafrique.com/lire/societe ... ritanienne

intéressant aussi d'apprendre que de nombreuses scènes du film sont des calques d'un documentaire du réalisateur mauritanien Lemine Ould SALEM sur Gao au Mali, dont la sortie est imminente...

tout cela à remettre dans un certain contexte j'imagine...

Effectivement intéressant, notamment, le tabou (tiens j'ai l'impression de faire du Julien) qui entoure la traite "Négrière" Trans-Saharienne. Effectuer ce rappel lorsque l'esclavagisme est étudié en classe, permettrait de briser bien des synergies haineuses. Sur ce sujet, les travaux de l'historien Olivier Pétré Grenouillau font référence et aussi détestation.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Olivier_Pétré-Grenouilleau

oui, enseigner l'esclavage aujourd'hui c'est enseigner la perpétuation de la traite économique : un seul exemple, les milliers de visas qui sont accordés par la France aux esclaves que les résidents des pétromonarchies emmènent avec eux lors de leurs séjours touristiques (les mères n’élèvent pas leurs enfants et de manière générale ils ne savent rien faire par eux-mêmes, il leur faut toujours un ou une esclave pour leur torcher le cul), dans les hôtels de luxe ou les villas. Où ils sont aussi mal payés ( des salaires minables pour un travail H24 jour et nuit) et maltraités : violences physiques et sexuelles. Jamais un inspecteur du travail n'ira vérifier chez les hyper riches et les puissants que cet esclavage est perpétué sur le sol français en toute impunité. Parfois des associations de défense des droits humains s'en mêlent, quand des esclaves maltraités s'enfuient et demandent le statut de réfugié.Cela cause même quelques griefs quant leurs "maîtres" sont des diplomates en poste !

Intéressant tout ça.
Cela dit, quand on s'appelle Nicolas Beau, on évite de porter une perruque aussi moche !