Repo Men
Publié : mar. 27 juil. 2010 21:22
voilà un film qui passera totalement inaperçu...malgré Jude Law, Forrest Whitaker, Liev Shrieber...et l'audace de sa thématique, qui est finalement une critique de la cruauté néo libérale poussée à l'extrême....(ha ça n'intéresse pas les distributeurs ? Universal n'est plus ce qu'elle était ma foi...)
donc, comme le dit le personnage de Jude Law :
if you can't pay for your car, the bank takes it back
if you can't pay for your house, the Bank takes it back
if you can't pay for your leaver, that's when I come in....
cette fois, le grand capital s'attaque à votre corps...méfiez braves insolvables, vous allez y perdre vos tripes un de ces jours...
Universal a donc distribué cette adaptation d'un roman d'Eric Garcia (qui a déjà inspiré un opéra semble t-il), sur les agents gestapistes d'une grande corporation spécialisée dans la vente d'organes artificiels que le quidam est incapable de payer, vu les prêts monstrueux consentis par l'immonde world company. Ces agents sont donc chargés de récupérer les dits organes une fois le délai expiré...
sur 1h50, on peut trouver le film un peu long, mais voilà,le film a l'audace rare de pousser sa logique jusqu'au bout (et là je me retiens de vous gâcher le suspense), on a droit notamment à une formidable scène de boucherie au couteau oeuvrée par Jude Law dans un couloir, qui jubile à trucider qqes individus qui font obstacle à une porte rose menant au coeur d'un système auquel il veut mettre fin...mais le film ne s'arrête pas là !
en gros, si vous aimez voir quelques excellents comédiens s'éclater dans une œuvre d’anticipation sur la récupération d'organes humains avec un réalisme confondant, je vous souhaite, bon film et bon appétit !
la musique de Beltrami & co est bien mise en valeur, tout à fait appropriée et fait plaisir à entendre
donc, comme le dit le personnage de Jude Law :
if you can't pay for your car, the bank takes it back
if you can't pay for your house, the Bank takes it back
if you can't pay for your leaver, that's when I come in....
cette fois, le grand capital s'attaque à votre corps...méfiez braves insolvables, vous allez y perdre vos tripes un de ces jours...
Universal a donc distribué cette adaptation d'un roman d'Eric Garcia (qui a déjà inspiré un opéra semble t-il), sur les agents gestapistes d'une grande corporation spécialisée dans la vente d'organes artificiels que le quidam est incapable de payer, vu les prêts monstrueux consentis par l'immonde world company. Ces agents sont donc chargés de récupérer les dits organes une fois le délai expiré...
sur 1h50, on peut trouver le film un peu long, mais voilà,le film a l'audace rare de pousser sa logique jusqu'au bout (et là je me retiens de vous gâcher le suspense), on a droit notamment à une formidable scène de boucherie au couteau oeuvrée par Jude Law dans un couloir, qui jubile à trucider qqes individus qui font obstacle à une porte rose menant au coeur d'un système auquel il veut mettre fin...mais le film ne s'arrête pas là !
en gros, si vous aimez voir quelques excellents comédiens s'éclater dans une œuvre d’anticipation sur la récupération d'organes humains avec un réalisme confondant, je vous souhaite, bon film et bon appétit !

la musique de Beltrami & co est bien mise en valeur, tout à fait appropriée et fait plaisir à entendre