Merci à vous !

l'analyse est belle et sérieuse même si on n'est pas d'accord. C'est vrai qu'il faudra attendre le second opus pour mesurer le travail globalement. Moi je me suis ennuyé à la vision du film et cela n'aide pas à apprécier le score.

Moi aussi je me suis ennuyé et le score ne m'avait pas marqué dans le film, mais je te recommande de l'écouter attentivement en dehors : voilà typiquement le genre de musique de film qui est meilleure en dehors du film ! Evidemment, ça fait un peu mal de dire ça quand il s'agit d'un film comme Harry Potter, dans lequel la musique devrait vraiment être mise en valeur, mais c'est comme ça...

Cette semaine, pour Greg, c'est l'animation qui est à l'honneur : après Animaux & Cie, haut les nains avec Gnomeo & Juliet !

Morricone fait l'éloge du plaisir et ce cher Benjamin en est le témoin : Maddalena sur UnderScores.

Brother Cadfael a écrit :Morricone fait l'éloge du plaisir et ce cher Benjamin en est le témoin : Maddalena sur UnderScores.

Oui,l'éloge du plaisir,c'est exactement ça et Benjamin nous en fait un récit magnifique et surtout intelligent dans le sens où il décrypte parfaitement la poétique morriconienne dont le cinéma italien (mais pas seulement) est de toute façon marqué au fer rouge!

Je ne peux pas mieux dire, bravo Benjamin !! Dommage que le CD ne soit plus facilement disponible...

Fallait être rapide pour choper l'exemplaire vendu à 15euros sur PM !
Le Vieux peut s'enorgueillir d'avoir provoqué une petite bousculade chez les marchands du net

Krull a écrit :Le Vieux peut s'enorgueillir d'avoir provoqué une petite bousculade chez les marchands du net

Vous m'en voyez comblé d'aise, les enfants. Qui sait, je réussirai peut-être même à aider à une réhabilitation totale de Chuck Cirino en lui accordant les faveurs d'un de mes articles ?

Ce type est vraiment trop drôle

Janus a écrit :la poétique morriconienne dont le cinéma italien (mais pas seulement) est de toute façon marqué au fer rouge!

Puisqu'on en parle, cher Janus, est-ce que, par le plus grand des hasards, tu aurais pu voir le film de Jerzy Kawalerowicz pour lequel Morricone a livré cette sensuelle partition ? Pour le peu que j'en sais, il s'agirait d'une très belle oeuvre à l'envoûtante moiteur.

Lee Van Cleef a écrit :

Janus a écrit :la poétique morriconienne dont le cinéma italien (mais pas seulement) est de toute façon marqué au fer rouge!

Puisqu'on en parle, cher Janus, est-ce que, par le plus grand des hasards, tu aurais pu voir le film de Jerzy Kawalerowicz pour lequel Morricone a livré cette sensuelle partition ? Pour le peu que j'en sais, il s'agirait d'une très belle oeuvre à l'envoûtante moiteur.

Non,je n'ai jamais eu cette chance,mais si tu savais qu'en réalité,j'ai vu très peu de films italiens musicalisés par Morricone. J'en ai raté deux à la télé; Giordano Bruno et Metello. Je me suis toute fois ,il y a peu,à peine un an,offert La Luna et La tragédie d'un homme ridicule de Bertolucci ainsi que Les cruels et Navajo Joe dans le genre western italien! Il y a plein de B.O. de Morricone que j'adore sans avoir pu voir les films!

Sur UnderScores, Michael Kamen n'est pas oublié : la preuve !

Lee Van Cleef a écrit :

Krull a écrit :Le Vieux peut s'enorgueillir d'avoir provoqué une petite bousculade chez les marchands du net

Vous m'en voyez comblé d'aise, les enfants.

Alors non seulement j'ai réussi à mettre la main (fébrile) sur cette (troublante) Maddalena mais en plus, j'ai adoré. Donc merci Papy

De rien, compagnon, tout le plaisir était pour le vieux Van Cleef... Mais puisque nous y sommes, je serais curieux de savoir si tu as réussi à écouter et déguster Chi Mai sans que ton esprit ne soit parasité par de violentes rémanences bébello-royalcaniennes.

Et bien non, cher ami. Et la recherche pour le moins ardue de ce film vieux de quarante ans n'arrange pas les choses, à vrai dire.
Mais si je me pose encore des questions sur la destination de ce beau morceau, il faut cependant souligner que la première interprétation de Chi Mai, timide je dirais, "fragile" comme tu le dis toi-même, se démarque franchement du célèbre arrangement publicitaire qui pollue notre mémoire audiovisuelle.
Quant au Professionnel, l'utilisation abusive de la pièce en question par Lautner ne m'a pas gâché la découverte étant donné que je ne me souviens pas avoir vu ce film !

"Très super" article sur le Baron Merci!!!!!!
je l'avais vu gamin ce film maintenant faut que je le revois

Biguimot a écrit :"Très super" article sur le Baron Merci!!!!!!

L'ardent défenseur de la langue française que je suis pourrait froncer des sourcils orageux face aux cahotantes libertés linguistiques que tu n'as pas hésité à prendre, Bigui... Mais le bouillant admirateur de Kamen qui se cache sous mon masque courroucé songera plutôt, lui, à te remercier pour cette exubérante démonstration d'enthousiasme ! Quant au film de Terry Gilliam, qui supporte l'épreuve du temps avec un tout autre panache que bien des blockbusters irrévocablement marqués par les chichis esthétiques des eighties, tu serais en effet fort avisé de le revoir séance tenante.

Amen! bon ben faut que je le trouve en DVD maintenant

Souhaitons la bienvenue à Pierre-Luc dans les pages d'UnderScores avec une chronique d'Atsuhime, de Ryô Yoshimata.

Eh bien, il semblerait que l'ami Den se soit finalement résolu à sauter le pas. Et avec une éloquence qui fait honneur à la fibre nippone battant à tout rompre au fond de lui.

Lee Van Cleef a écrit :Eh bien, il semblerait que l'ami Den se soit finalement résolu à sauter le pas. Et avec une éloquence qui fait honneur à la fibre nippone battant à tout rompre au fond de lui.

Merci, Lee, pour ces mots gentils. J'espère seulement que les autres ne diront pas que cet article n'est nippon ni mauvais

Denshaotoko a écrit :J'espère seulement que les autres ne diront pas que cet article n'est nippon ni mauvais

Ne te berce pas de trompeuses illusions, l'ami. Il suffirait seulement que Morty, le Grand Sachem ou le chat du Cheshire viennent traîner leurs guêtres par ici pour que les apocalyptiques contrepèteries qui sont ta hantise n'explosent à ton visage hagard.

Faites donc un petit tour dans les coulisses du théâtre de L'Illusionniste avec le réalisateur & compositeur Sylvain Chomet

Florent évoque avec éloquence le travail d'Alexandre Desplat sur The King's Speech...

Excellent article pour un excellent CD. Par contre, euh... "au passif international chargé, Desplat" me semble une coquille, non??

Mais non, Jarre et Desplats sont des voyous notoires de la musique de film qui mangent à tous les rateliers sans vergogne ...