Dernières visions
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Re: Dernières visions
Bon et bien je vais me regarder cette "instinct de survie", alors.
« Je ne connais pas la moitié d’entre vous autant que je le voudrais et j’aime moins de la moitié d’entre vous à moitié moins que vous ne le méritez ! »
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Re: Dernières visions
Attention, ce n'est pas du tout un roller-coaster de l'épouvante, pas plus qu'un film ultra formaliste façon horreur espagnole. C'est simplement un beau film fantastique centré sur ces personnages, et faisant le récit de la transformation en femme de sa fille sous les yeux d'un père qui ne la comprends pas. Je partage, cela dit, les sentiments de Wyatt, ça m'a, moi aussi fait très peur.
"Le cinéma, c'est comme l'amour, quand c'est bien fait, c'est merveilleux, quand c'est mal fait, c'est un petit peu merveilleux aussi." S.Donen
Octobre 2014: 31 jours, 31 films :http://trainfantome.blogspot.com/
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Re: Dernières visions
Bon... ça, donne encore plus envie là ! 

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Re: Dernières visions
Deux belles tranches de cinéma épique ces jours derniers, avec tout d'abord l'envoûtant Marketa Lazarova, réalisé en 1967 durant l'âge d'or du cinéma tchèque et que doit sans doute connaître le camarade Julien. Sous la caméra dansante de Frantisek Vlacil et la sublime partition de Zdenek Liska, la boue, la neige, les flammes et le sang composent des images d'une beauté à la fois rugueuse et merveilleusement éthérée, que j'aurais envie de rapprocher des jours glorieux du cinéma russe. Marketa Lazarova risque de paraître hermétique, voire terriblement chiant aux yeux des spectateurs surtout en quête de batailles mastoc (j'entends d'ici les ronflements si peu mélodieux du chat du Cheshire), mais l'expérience, belle, échevelée, presque mystique, mérite ô combien d'être tentée.
Retour en des terres hollywoodiennes plus familières, même si le magnifique The War Lord (Le Seigneur de la Guerre) n'a pas grand-chose à voir non plus avec l'odyssée guerrière de consommation courante. Pour son troisième film, Franklin Schaffner s'attelle à la transposition d'une pièce de théâtre, d'où l'abondance de scènes intimistes où le drame, les rancoeurs et la jalousie se déchaînent en vase clos. Pour autant, le film n'a rien d'une tiède adaptation scolaire et, dans sa dernière partie, met en scène avec un réalisme franc du collier le siège spectaculaire d'une tour. Rajoutons à cela un casting royal que dominent les fabuleux Charlton Heston et Guy Stockwell et la très belle musique du sous-estimé Jerome Moross, et nous obtenons au final une exceptionnelle tragédie médiévale.
Retour en des terres hollywoodiennes plus familières, même si le magnifique The War Lord (Le Seigneur de la Guerre) n'a pas grand-chose à voir non plus avec l'odyssée guerrière de consommation courante. Pour son troisième film, Franklin Schaffner s'attelle à la transposition d'une pièce de théâtre, d'où l'abondance de scènes intimistes où le drame, les rancoeurs et la jalousie se déchaînent en vase clos. Pour autant, le film n'a rien d'une tiède adaptation scolaire et, dans sa dernière partie, met en scène avec un réalisme franc du collier le siège spectaculaire d'une tour. Rajoutons à cela un casting royal que dominent les fabuleux Charlton Heston et Guy Stockwell et la très belle musique du sous-estimé Jerome Moross, et nous obtenons au final une exceptionnelle tragédie médiévale.
- Pierrebrrr
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Re: Dernières visions
Tu l'as déniché facilement ce seigneur de guerre ? Je l'ai cherché sans succès cet été, et j'en suis toujours curieux.
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Re: Dernières visions
Ah oui, je suis bien d'accord avec toi. cette musique est une PURE merveille.Lee Van Cleef a écrit : et la très belle musique du sous-estimé Jerome Moross,
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Re: Dernières visions
Par pur hasard, je dois dire, dans les rayons du Virgin des Champs-Elysées. Autant dire que je ne me suis pas fait prier pour l'ajouter à la pile déjà conséquente de galettes qui vacillait entre mes bras cadavéreux.Pierrebrrr a écrit :Tu l'as déniché facilement ce seigneur de guerre ?
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Re: Dernières visions
Qui a bien pu prétendre avec tant de mauvaise foi que le bien-être du troisième âge ne faisait en rien partie des préoccupations des jeunes pousses ? L'émouvant altruisme de Krull à l'égard du vieux Van Cleef arrive à point nommé pour splendidement affirmer le contraire.
Re: Dernières visions
Vu fast five,le film est un peu soulant et over the top dans l'ensemble mais les scenes avec dwayne (the rock) johnson sont plutot bien,le monsieur est un voleur de scene et vin diesel fait pas plis a coté de lui,la baston entre les deux gaillards est un plaisir coupable a voir.
Vu aussi ben hur en blu ray,la copie est magnifique et le score de rozsa isolé.
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Re: Dernières visions
En attendant que Carlotta sorte très prochainement un coffret dédié aux premières passes d'armes de David Lean (avec au programme le sublime Brief Encounter), je viens de découvrir chez le même éditeur Summertime, généralement considéré par les fans de l'élégant Britannique comme une sorte de (belle) passerelle jetée entre ses mélos anglais en noir et blanc et ses mythiques fresques hollywoodiennes. Malgré tous les apparats d'une bluette de carte postale (guimauve vénitienne à gogo, bellâtres gominés, étreintes passionnelles sur fond de feux d'artifice), le film fait sourdre de la plupart de ses plans une mélancolie cafardeuse et un sentiment d'échec affectif qui sonne toujours juste. En ce sens, Lean doit une fière chandelle à l'incroyable Katharine Hepburn, confondante de vérité dans la peau d'une femme esseulée que de maigres illusions ont poussé jusqu'à la Capitale du romantisme latin. Il a beau ne pas payer de mine de prime abord, Summertime ne s'impose donc pas moins comme un très touchant "petit" film.
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Re: Dernières visions
Deadtime Stories - Film à sketchs produit et présenté par George Romero. Kitsch et navrant !
La palme du nullissime revient tout de même au premier sketch et à ses explorateurs confrontés à un tueur sauvage. J'en ris encore...
Au final, la seule histoire à sortir la tête de la fange est celle de Tom Savini.
Mais le plus rigolo reste probablement la différence entre les accroches faites par Romero et les films qui suivent. A croire, qu'il n'a pas vu ce dont il parle...
Bah, je sais qu'il faut bien payer ses impôts, mais est-ce une raison pour s'en prendre aux pauvres téléspectateurs qui n'en demandaient pas tant.

La palme du nullissime revient tout de même au premier sketch et à ses explorateurs confrontés à un tueur sauvage. J'en ris encore...

Au final, la seule histoire à sortir la tête de la fange est celle de Tom Savini.
Mais le plus rigolo reste probablement la différence entre les accroches faites par Romero et les films qui suivent. A croire, qu'il n'a pas vu ce dont il parle...
Bah, je sais qu'il faut bien payer ses impôts, mais est-ce une raison pour s'en prendre aux pauvres téléspectateurs qui n'en demandaient pas tant.

- Lee Van Cleef
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Re: Dernières visions
Que veux-tu, le chat du Cheshire, il n'est pas donné à tout le monde de vieillir aussi bien que ton indéracinable serviteur. Voilà comment, de fil en aiguille, le grand George est passé de ses premiers coups de maître "zombiesques" à ses récentes et hideuses séries Z, toutes bancales et purulentes... Mais oublions donc la santé artistique désormais hoquetante du prince de Pittsburgh pour ne retenir que l'audace et la beauté noire de ses meilleurs films. Et à ce propos, quelqu'un ici aurait-il déjà vu le méconnu Knightriders, que Romero lui-même tient pour son rejeton favori avec Martin ?
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Re: Dernières visions
Non, et j'adorerai pourtant. ça m'a toujours tenté. Je ne suis pas sûr qu'il existe en DVD... Et dis donc, Van Cleef, il y a des qualités, dans les derniers, tout n'est pas à jeter.
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Re: Dernières visions
Oh, bien sûr que Romero n'est pas totalement devenu sénile et impotent avec ses derniers essais ! Le préambule de Diary of the Dead, qui réussissait à créer l'illusion d'un authentique découpage de cinéma en multipliant au sein d'un unique plan-séquence les recadrages violents et les focales abruptes, m'avait même sacrément enthousiasmé. Ce petit exploit, sans équivalent, si je ne me trompe, dans la jeune histoire du first person movie, s'effaçait hélas très vite derrière une réalisation léthargique et de flasques péripéties, dont le point d'orgue reste sans doute ce dernier acte consternant de mollesse.
Malgré un retour bienvenu à une mise en scène "traditionnelle", Survival of the Dead, pour sa part, ne s'en tire pas beaucoup mieux. Il y a bien ça et là quelques séduisantes touches poétiques (la jeune femme morte continuant à parcourir la lande à dos de cheval) et de petites gouttes corrosives de cet humour noir qu'a toujours affectionné Romero, mais elles ne pèsent vraiment pas lourd face à un casting je-m'en-foutiste, une mise en scène singeant péniblement les archétypes visuels du western et des effets spéciaux qu'on jurerait tout droit téléportés d'un fleuron de la Troma (Dieu ! qu'elle est loin, la fastueuse époque de Tom Savini). L'absence d'un cynisme facile témoigne de l'amour toujours intact que le cinéaste voue à ses zombies fétiches, mais la formidable énergie qu'il était jadis capable d'insuffler à leurs chairs putréfiées semble s'être tarie...
Autrement, Pierrot, pour revenir à ton interrogation première, Knightriders existe bel et bien en DVD, mais hélas, Anchor Bay oblige, dénué du moindre sous-titre. Je ne sais pas ce qu'il en est pour toi, mais pareil obstacle linguistique réfrène considérablement mes ardeurs.
Malgré un retour bienvenu à une mise en scène "traditionnelle", Survival of the Dead, pour sa part, ne s'en tire pas beaucoup mieux. Il y a bien ça et là quelques séduisantes touches poétiques (la jeune femme morte continuant à parcourir la lande à dos de cheval) et de petites gouttes corrosives de cet humour noir qu'a toujours affectionné Romero, mais elles ne pèsent vraiment pas lourd face à un casting je-m'en-foutiste, une mise en scène singeant péniblement les archétypes visuels du western et des effets spéciaux qu'on jurerait tout droit téléportés d'un fleuron de la Troma (Dieu ! qu'elle est loin, la fastueuse époque de Tom Savini). L'absence d'un cynisme facile témoigne de l'amour toujours intact que le cinéaste voue à ses zombies fétiches, mais la formidable énergie qu'il était jadis capable d'insuffler à leurs chairs putréfiées semble s'être tarie...
Autrement, Pierrot, pour revenir à ton interrogation première, Knightriders existe bel et bien en DVD, mais hélas, Anchor Bay oblige, dénué du moindre sous-titre. Je ne sais pas ce qu'il en est pour toi, mais pareil obstacle linguistique réfrène considérablement mes ardeurs.
- Lee Van Cleef
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Re: Dernières visions
Le western américain a offert son lot de prestigieux tandems réalisateur/acteur, au premier rang desquels figurent les inoubliables John Ford/John Wayne, John Ford/Henry Fonda et Anthony Mann/James Stewart. Et puis il y a aussi les binômes plus discrets, qui n'ont pas illuminé le genre d'un éclat aussi aveuglant mais ont grandement contribué, de par leur foncière originalité, à sa vigueur et sa pérennité. Tout ça pour dire que je viens d'entamer le fameux cycle Ranown, riche de sept films tournés au cours des années 50, et que l'association entre Budd Boetticher et Randolph Scott me paraît digne de figurer auprès des mythiques duos précités.
On pourrait d'ailleurs distinguer un troisième larron, le scénariste Burt Kennedy, qui n'avait pas son pareil pour soulager un script de toute sa matière grasse et pour instaurer un vrai climat de tension grâce à d'astucieux dialogues à double-fond. L'impassible Scott, dont le jeu monolithique est merveilleusement transfiguré par la caméra de Boetticher, est en outre très bien entouré, qu'il s'agisse de la menace féline représentée par Lee Marvin dans Seven Men From Now (7 Hommes à Abattre) ou du dangereux vernis de courtoisie de Richard Boone dans The Tall T (L'Homme de l'Arizona). Bref, deux petits films en guise d'amuse-gueule (façon de parler) et me voilà déjà totalement conquis. Et je n'ai pas l'intention de m'arrêter en si bon chemin, gentlemen...
On pourrait d'ailleurs distinguer un troisième larron, le scénariste Burt Kennedy, qui n'avait pas son pareil pour soulager un script de toute sa matière grasse et pour instaurer un vrai climat de tension grâce à d'astucieux dialogues à double-fond. L'impassible Scott, dont le jeu monolithique est merveilleusement transfiguré par la caméra de Boetticher, est en outre très bien entouré, qu'il s'agisse de la menace féline représentée par Lee Marvin dans Seven Men From Now (7 Hommes à Abattre) ou du dangereux vernis de courtoisie de Richard Boone dans The Tall T (L'Homme de l'Arizona). Bref, deux petits films en guise d'amuse-gueule (façon de parler) et me voilà déjà totalement conquis. Et je n'ai pas l'intention de m'arrêter en si bon chemin, gentlemen...
- Pierrebrrr
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Re: Dernières visions
Je crois que j'ai une grande affection pour George, et ces petites qualités que tu cites m'ont tout à fait suffit à apprécier le film, étrange objet au demeurant, dont on se demande régulièrement jusqu'à quel point Romero est obligé de coller des zombies (ici très dispensables) dans les scénarios qu'il veut avoir une chance de tourner. Et puis, un film qui commence présente son personnage féminin en tenue commando, la main dans le pantalon, se frottant vigoureusement l'entrejambe, sous l'oeil totalement impassible (quel professionnalisme !) de ses compagnons d'infortune, et ce sans que rien ne justifie un choix aussi saugrenu dans le récit, un tel film Lee peut-il être vraiment mauvais ?Il y a bien ça et là quelques séduisantes touches poétiques (la jeune femme morte continuant à parcourir la lande à dos de cheval) et de petites gouttes corrosives de cet humour noir qu'a toujours affectionné Romero
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Re: Dernières visions
Vu en blu ray green lanter 3d,la 3d est correcte ,le film se laisse voir et s'oublie vite un peu comme thor,vu aussi the bad seed et la copie est superbe un tres beau noir et blanc,mis en scene,acteurs et score superbe,dommage que le film souffre de certaines longueurs par moment,mais en dehors de ça c du grand cinema.
- Lee Van Cleef
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Re: Dernières visions
Il y aura peut-être eu un léger ventre mou en milieu de cycle, quelques petites faiblesses de script par-ci (Charles Lang se défend plus qu'honorablement, mais n'a pas la patte virtuose de Burt Kennedy), une réalisation soudain moins rigoureuse par-là, qui ont empêché Decision at Sundown (Le Vengeur Agit au Crépuscule) et Buchanan Rides Alone (L'Aventurier du Texas) de se hisser au même degré d'excellence que leurs prédécesseurs. Mais avec les deux derniers opus du cycle Ranown, les seuls à être tournés dans un Scope par ailleurs magnifique, Budd Boetticher achève en apothéose sa fructueuse collaboration avec un Randolph Scott né pour chevaucher dans un décor minéral. Si Ride Lonesome (La Chevauchée de la Vengeance) et Comanche Station s'imposent donc comme des réussites majeures du western, j'avouerais une tendresse certaine pour le premier cité, dans lequel votre honorable serviteur, pas encore creusé et défiguré par les affres du temps, n'a pas besoin de plus de deux scènes pour incendier l'écran de son redoutable charisme.
- Lee Van Cleef
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Re: Dernières visions
Il suffirait de se confectionner un programme étiqueté "nos si chères têtes blondes", où s'entrechoqueraient le film de Mervyn Leroy, The Innocents de Jack Clayton, Quién Puede Matar a un Niño de Narciso Ibañez Serrador, les deux versions de Village of the Damned, n'importe quel épisode au hasard de Children of the Corn ou bien encore le Beware ! Children at Play bricolé chez Troma, pour venir à bout, sans l'ombre d'une difficulté, des plus farouches volontés de fonder une belle et nombreuse famille.Colwyn a écrit :vu aussi the bad seed et la copie est superbe un tres beau noir et blanc,mis en scene,acteurs et score superbe,dommage que le film souffre de certaines longueurs par moment,mais en dehors de ça c du grand cinema.
- Misquamacus
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Re: Dernières visions
"Green Lantern". C'est léger mais pas si honteux que ça.
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- DarkCat
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Re: Dernières visions
Je viens de (re?)voir Le Corsaire Noir, et ça a tout de même pris un sacré coup de vieux. La faute en revient d'ailleurs principalement à un budget anémique !
Ah, si seulement Sergio Solima avait pu bénéficier du budget "vodka" de Misqua ou du budget "bandage herniaire" de Lee !!! Nous aurions alors eu affaire à des dizaines de navires fendant les eaux, à des milliers de figurants et à Carlo Rustichelli !
Dommage...

Ah, si seulement Sergio Solima avait pu bénéficier du budget "vodka" de Misqua ou du budget "bandage herniaire" de Lee !!! Nous aurions alors eu affaire à des dizaines de navires fendant les eaux, à des milliers de figurants et à Carlo Rustichelli !

- Misquamacus
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Re: Dernières visions
Pas si élevé que ça, j'ai coutume d'y ajouter du Kahlua et de la crème, histoire de déguster un bon vieux "White Russian" comme notre cher "Dude" Lebowsky.DarkCat a écrit :avait pu bénéficier du budget "vodka" de Misqua

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Re: Dernières visions
Mais il est sorti où ce Green Lantern ????? 

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