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J'espère arriver à le voir avant qu'il ne disparaisse de Arte +7

(((

Prochaine diffusion sur Arte le lundi 25 novembre à 03:45.
Et disponible sur leur replay jusqu'au 06/01/2020.
Donc, je pense que ça te laisse un peu de temps pour le voir.

AH
OUI
En voilà une bonne nouvelle <3 Merci !

CHARLIE'S ANGELS (2019) : D'habitude, j'aime bien ce genre de score rock-orchestral. Mais là, le gars Brian Tyler n'arrête pas de faire du stop and go dans quasiment toutes les pistes. C'est fatiguant. On dirait presque du mickey-mousing. Et ce n'est pas son thème, très plat, qui sauve le truc. Encore moins ses timides reprises du thème original de Jack Elliott et Allyn Ferguson.
Déception.

En pleine écoute de l'album concert de Lost, WE HAVE TO GO BACK, enregistré à Dublin en juin 2019. C'est magnifiquement interprété, et la qualité de l'enregistrement est fort louable. Énorme ombre au tableau en revanche: qui diable a donc eu cette idée saugrenue d'inclure de longues minutes de dialogues entre Giacchino et le public/les divers invités ???!!!

Sam Lowry a écrit :

CHARLIE'S ANGELS (2019) : D'habitude, j'aime bien ce genre de score rock-orchestral. Mais là, le gars Brian Tyler n'arrête pas de faire du stop and go dans quasiment toutes les pistes. C'est fatiguant. On dirait presque du mickey-mousing. Et ce n'est pas son thème, très plat, qui sauve le truc. Encore moins ses timides reprises du thème original de Jack Elliott et Allyn Ferguson.
Déception.

BRAIN TYLER ???

ça devait finir par arriver un jour Brian a chopé la grosse tête, maintenant il faut l'appeler The Brain.

Alors, est-ce une bête coquille ou un jeu de mot du genre "c'est le cerveau qui se cache derrière l'agence de Charlie ?

Bmcready a écrit :BRAIN TYLER ???

Ah les cons !

Fabthelaw a écrit :En pleine écoute de l'album concert de Lost, WE HAVE TO GO BACK, enregistré à Dublin en juin 2019. C'est magnifiquement interprété, et la qualité de l'enregistrement est fort louable. Énorme ombre au tableau en revanche: qui diable a donc eu cette idée saugrenue d'inclure de longues minutes de dialogues entre Giacchino et le public/les divers invités ???!!!

Je savourais à l'avance mon retour musical sur l'Île via ce disque, et puis... J'avoue être déçu. C'est bien interprété en live, pas de doute, mais bon... Je trouve ça un peu ch... ennuyeux. Seuls quelques morceaux ont réussi à faire dresser mon oreilles. Et puis c'est vrai, les dialogues... Why ? ça ressemble plus à une réunion en geeks.

Misquamacus a écrit :
Fabthelaw a écrit :En pleine écoute de l'album concert de Lost, WE HAVE TO GO BACK, enregistré à Dublin en juin 2019. C'est magnifiquement interprété, et la qualité de l'enregistrement est fort louable. Énorme ombre au tableau en revanche: qui diable a donc eu cette idée saugrenue d'inclure de longues minutes de dialogues entre Giacchino et le public/les divers invités ???!!!

Je savourais à l'avance mon retour musical sur l'Île via ce disque, et puis... J'avoue être déçu. C'est bien interprété en live, pas de doute, mais bon... Je trouve ça un peu ch... ennuyeux. Seuls quelques morceaux ont réussi à faire dresser mon oreilles. Et puis c'est vrai, les dialogues... Why ? ça ressemble plus à une réunion de geeks.

La série finissait par être chiante à force d'ouvrir de nouvelles pistes sans en expliquer d'autres puis se terminer en eau de boudin , Giacchino à respecté

le cahier des charges.

Scorebob a écrit :La série finissait par être chiante à force d'ouvrir de nouvelles pistes sans en expliquer d'autres puis se terminer en eau de boudin , Giacchino à respecté le cahier des charges.

D'ailleurs tout était dans le titre, Lost...

Les Simpson avaient aussi fait un sort à la série tant elle avait déçue ses aficionados:

Je viens d'achever l'écoute de Proxima de Ryuichi Sakamoto. C'est très atmosphérique et saturnien, dans l'esprit des récents scores de SF et de ce que produit le compositeur depuis quelques années. J'aime beaucoup ce genre d'ambiance, et Sakamoto reste de toute manière pour moi un grand professionnel même si on le sent moins inspiré que par le passé (excepté avec le drame Ikari, où il se livre à de longues pièces certes minimalistes mais bourrées d'émotions).

Les amis, vous n'allez pas le croire. J'ai encore survécu à l'écoute du dernier effort du frapadingue Holkenborg. Oui. Je parle bien du suspicieux TERMINATOR : DARK FATE.
Bon, vous me direz, je n'ai pas vu le bousin (qui s'annonce, apparemment, abyssal d'ennui) qui va avec. Mais en écoute isolée, bah oui, gentlemen, ça fonctionne pas si mal. Oh, pas de quoi s'en relever la nuit non plus, ça non. Mais c'est solide et j'ai vraiment aimé les reprises du thème de Brad Fiedel.

Je n'y ai pas encore goûté. C'est prévu pour demain.

J'ai réessayé d'écouter JOKER de Hildur G.
Vraiment j'y arrive pas. Je ne comprends pas. JE NE COMPRENDS PAS !

Sam Lowry a écrit :Les amis, vous n'allez pas le croire. J'ai encore survécu à l'écoute du dernier effort du frapadingue Holkenborg. Oui. Je parle bien du suspicieux TERMINATOR : DARK FATE.
Bon, vous me direz, je n'ai pas vu le bousin (qui s'annonce, apparemment, abyssal d'ennui) qui va avec. Mais en écoute isolée, bah oui, gentlemen, ça fonctionne pas si mal. Oh, pas de quoi s'en relever la nuit non plus, ça non. Mais c'est solide et j'ai vraiment aimé les reprises du thème de Brad Fiedel.

Pfffff. Obligé de tenter alors :/

Heu... obligé, obligé, comme tu y vas !...

Thomas Newman a repoussé les limites du sound design dans 1917. Je n'en reviens toujours pas qu'on puisse faire un truc aussi vide...

Si, si. C'est la mode. et d'ailleurs du coup, on n'est pas dans la mode...

Bon, bah, alors, je préfère être un vieux con démodé...

Nan, mais quand même ! Un mec de la trempe de Thomas Newman ! Faire un truc aussi vide ! C'est pas possible que Sam Mendes lui ait demandé un machin pareil ! Remarquez que, déjà, dans les deux Bond, on le sentait venir... mais là ! Un morceau de 10 minutes comme Milk dans 1917 où il ne se passe stric-te-ment rien, c'est à n'en pas croire ses oreilles !

Quand je dis c'est la mode, je plaisante à moitié. "Dunkirk" est passé par là.
Et c'est clair que je m'attendais à autre chose de la part de Thomas Newman. C'est un peu la même chose pour le "Pet semetary" de Young...

Maintenant c'est comme d'habitude. Peut-être que ça participe à l'ambiance du film.

J'ai beau avoir une affection particulière pour Thomas Newman, difficile de le défendre sur ce 1917.
A part 2-3 titres bien sentis et qui nous rappellent les très belles envolées des Evadés, de la Ligne Verte ou de Road to Perdition, pas grand chose à sauver.

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