Re: John Williams
Publié : mer. 8 janv. 2025 20:15
Du temp track, oui, y'en a... mais du beau Williams, aussi, mécréant ! 

https://www.underscores.fr/forum/
Ah oui, ça je peux t'assurer que c'est super calme cette semaine. Je ne connais pas ce film ni cette BO, mais je suis curieux (mais pas au point d'acheter un deluxe).
C'est le seul cd de John Williams que j'ai signé par le maestro, sa signature massive dévorant la couv , Je ne saurai jamais a quelle occasion hélas le cd ayant été acheté d'occasion sur le net.Dadid a écrit : ↑dim. 2 mars 2025 19:47 C'est la première édition Master Film Music, qui se vendait à prix d'or. Belle couverture, en effet (qui évitait au passage de payer des droits pour les images du film). On peut s'en contenter... ou pas, de même pour l'édition Sony.Vu la qualité de la bande son sur le récent Blu-Ray du film (qui laissait présager la parution du CD LLL), moi je tente ma chance.
La suite narrée par Burgess Meredith vient d'un bon album avec l BPO, c'est bien que LLL l'ai reprise en bonus.
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Non , une bonne affaire , le vendeur avait mis la main sur une collection entière de musiques de films et ne savait pas trop la valeur de ce qu'il vendait les premiers temps du moins.
Je suis aux anges. Quelle fantastique musique ! J'ai commandé mon exemplaire via MBR dès hier. Lorsque j'ai eu la chance d'interviewer Didier Deutsch pour UnderScores en 2012, c'est un des titres dont j'avais pu lui parler, en espérant déjà alors une réédition. 13 ans plus tard, cette réédition devient réalité. Ce score est une pépite, l'écho d'un été passé il y a plus d'un siècle en Mississippi par une sorte de descendant de Tom Sawyer. Williams a parfaitement su capturer l'enfance, la géographie et l'esprit americana. Je ne peux que recommander cette réédition de The Reivers à toutes et tous.
Ah, nostalgie languide, qui suavement nous étreint à la réminiscence de ces aubes blafardes où même les synthés sans pécule des turbulentes eighties, annoncés avec force tapage et accroches par Intrada, revêtaient à nos yeux hagards, que l'épuisement d'une nuit presque blanche pochait d'auréoles bistres, tout le clinquant de merveilles aussi insondables qu'indispensables... En comparaison, The Reivers fait petit bras. Au surplus, la période désormais antédiluvienne qui l'a vu naître, si passionnante soit-elle dans l'oeuvre de Williams, n'a pas grand-chose pour faire mousser l'écume aux lèvres des fans transis de Star Wars... Eh bien, ces lansquine-vinaigre sont loin de se douter de ce qu'ils perdent ! Parce que ce Johnny-là, c'est de la diantrement bonne.