Celui-ci je l'adore !

Quel cabot tu es, Ratatouille !

En bon publicitaire, voilà que tu convoques d'un seul lancer de pierre Éric Serra (possible sujet à polémiques), un des pompages musicaux les plus tape-à-l’œil qu'on puisse imaginer (polémique, encore et toujours), et de surcroit, d'un morceau qui ne répond pas à ton propre sujet puisqu'il ne contient aucun crescendo notable (au contraire, sa force est de passer brutalement du pianissimo au fortissimo, sans progression).

Bref, je suis admiratif. Mission accomplie : promis, plutôt que de faire le malin, je vais devoir trouver quelques bons exemples à poster ici, et avec plaisir encore !

Ne sachant pas bien ce qu'est un crescendo, je suis bien incapable de participer.

Rien de plus simple. En musique il s'agit d'une augmentation progressive de l'intensité du son, que ce soit sur une progression d'accords (par exemple une mélodie que l'orchestration fait monter en puissance), ou un seul accord tenu dont le volume enfle (effet plus courant dans les musiques électro). Autant dire que des crescendos, en musique, il y en a partout. Le Boléro de Ravel en est l'illustration la plus évidente et connue (plus l'idée de répétition, ce qui n'est pas obligatoire dans un crescendo).

Désolé Dadid... mais je devais faire mon week-end oui pour le Serra j'ai triché mais voulais un peu secouer le barbecue...

Un sublime crescendo pour un film polonais... Bandyta par Michal Lorenc...


Pour Carl Orff... la taverne aurait été "plus" propice (le premier qui dit que c'est mal orthographié...)...

Deux pour le prix d'un, ça redescend et sa remonte :

JNH a été un spécialiste de la chose il y a un temps:

Pour moi le crescendo va crescendo qui tue :



Avec les images c'est carrément enivrant .

Allez... on s'amuse !

Un peu de Maurice Jarre :

Un peu de JNH :

Salut à tous,
Je mets mon petit vote pour Journey to the Line de Zimmer et l’Adagio in D Minor de John Murphy. Gros frissons à chaque fois.

Et bien sûr, le Boléro de Ravel… parce que crescendo ultime !

la piste FINAL de Titus d'Elliot Goldenthal

Des frissons tout le temps malgré les nombreuses années

Tiens, j'y pense, le morceau The Orgy de Conan The Barbarian peut-il être classé dans les crescendos ?
Et il y en a d'autres de mémorables dans cette partition comme Wheel of Pain et Pit Fights.

Oui tout a fait.

Un peu mon n'veu, tout est bon dans le barbare ! Encore que Pit Fight repose plus sur une accélération qu'une franche montée en puissance, il me semble, mais ça doit être un peu des deux !