SamSam a écrit :Je vérifierai dans quelques jours si ce livre valait tes éloges.

Sois sur tes gardes, noble ami ! En cas d'esclandre attisé par une publicité qu'éventuellement tu qualifierais de mensongère, sache que le vieux Van Cleef ne reprend, ni n'échange, ni ne rembourse.

Lee Van Cleef a écrit :

SamSam a écrit :Je vérifierai dans quelques jours si ce livre valait tes éloges.

Sois sur tes gardes, noble ami ! En cas d'esclandre attisé par une publicité qu'éventuellement tu qualifierais de mensongère, sache que le vieux Van Cleef ne reprend, ni n'échange, ni ne rembourse.

Je te rassure, tu n'auras pas à sortir ton katana pour te défendre... Ce livre satisfait tout à fait mon attente, et bien plus encore!

Le texte pour chaque compositeur est adapté tout public, ce qui me convient tout à fait. Et le contenu est plutôt instructif.
C'est agréable d'avoir des photos des films un peu partout, aucun risque de trouver ce livre austère (même si j'aurais préféré plutôt des photos des sessions d'enregistrements ou de composition).
Sympa le coup des entractes entre les chapitres. Sympa aussi les descriptions et classements/dédicaces des auteurs en fin d'ouvrage.

Un peu de mal avec certains choix d'allocations de pages. De nombreux acolytes de Hans Zimmer ont droit à une page complète alors que Brian Tyler (qui a écrit plus de scores à succès que certains) a droit à juste 1/4 de page et une biographie plus que sommaire. Et un autre quart de cette même page est occupé par Javier Navarrette... Je pensais que Le Labyrinthe de Pan avait été un tel succès qu'il aurait eu droit à sa page complète.
Après, je comprends qu'il faut faire des choix et ce choix est forcément subjectif donc je l'accepte.

Donc merci pour cette belle découverte et je m'en vais continuer ma lecture!

Lee Van Cleef a écrit :Je n'ai pas envie d'éreinter le compositeur John Paesano d'une de ces catilinaires effilées dont je suis pourtant consommateur patenté, et croyez bien que j'en suis le premier mortifié ! Peut-être parce qu'à défaut d'être très stimulant à écouter, il s'avère plutôt agréable (et parfois même pertinent) à lire...

j'ai écouté qq morceaux de John Paesano pour Daredevil et j'ai plutôt aimé. On est un peu dans la veine du Batman récent (le dark). C'est du DC comme il faut.
J'ai l'impression que bcp de gens ici n'aiment guère les compositeurs devant un ordinateur qui assemblent et composent via l'outil informatique....

Michael Remy a écrit :J'ai l'impression que bcp de gens ici n'aiment guère les compositeurs devant un ordinateur qui assemblent et composent via l'outil informatique....

Je ne pense pas que ce soit vraiment cela qui rebute les gens. Il faut juste que le résultat soit bon... à écouter. Et honnêtement, c'est loin d'être souvent le cas.
A l'inverse, tu as aussi des musiques composées... euh... "à l'ancienne" qui sont loin d'être folichonnes.
Donc...

Je viens de recevoir un carton avec la dream team DC... et j'en remercie la dream team d'UnderScores. Les gars, je vous !


Il va maintenant falloir que je vois pour m'acheter un cadre pour vinyle.

Content pour toi

Merci Bob.
Je dois cette éclatante réussite, à mon génie et à mon talent naturel... qui m'ont permis d'écrire mon nom dans un mail.

S.O.S brigade des moeurs ! Après Emanuelle Nera, le diptyque Requiem pour un Vampire/Fascination, Café Flesh, La France Interdite et autres odes décadentes à la jouissance des sens, le vieux, pervers et lubrique Van Cleef vient encore de fourrager avec moult grimaces dans l'antre insalubre qu'abrite sa braguette ! Cette fois, il en a extirpé une anthologie peu recommandable où Brigitte Lahaie et Alain Goraguer s'affairent en feulant à des pratiques à même de pétrifier d'effroi les esprits nobles et purs (genre le Grand Sachem ou le chat du Cheshire, voyez). UnderScores, les pieds dans la fange, en réchappera-t-il indemne ?

Putain les photos !

Cher monsieur Van Cleef, je vous remercie pour ce moment de poésie, teintée d'un doigt profond de nostalgie, mon méat en est encore tout ému.

Je ne peux que louer ton abnégation, qui t'a poussé à revoir l'intégrale de l’œuvre grivoise de la Dame, mais aussi à compulser les milliers de photos de ta collection personnelle, afin d'illustrer ton brillant article.
Brillant, mais frustrant. En effet, n'ayant toujours pas trouvé ce foutu enregistrement en bonne qualité, je n'en suis que plus... frustré. Avis à la population !

Julien a écrit :Putain les photos !

Photos de bon goût, tu veux dire.
Aujourd’hui, des pubs shampoing ou des clips de rap, véhiculent des images autrement plus... putassières.

Et puis, la jaquette de ce CD est toujours plus classe que celle de l'excellent "Pussy Brats".

Julien a écrit :Putain les photos !

Un vocable aussi peu châtié a jailli également d'entre mes lèvres, tel un postillon de feu craché par un volcan furibond, lorsque mes yeux se sont posés sur lesdites photos — désespérément soft, est-il bien utile de le souligner. L'occasion était pourtant belle d'enseigner à la jeune génération ainsi qu'aux cinéphiles à la petite semaine, clichés spectaculaires à l'appui, pourquoi Richard Allan, l'un des glorieux mousquetaires du X gaulois, ne fut pas surnommé en vain "Queue de Béton" par ses condisciples chez qui une admiration quasi superstitieuse le disputait à une aigre jalousie.

Le temps a fait son oeuvre de peu flatteuse manière pour le Robin Hood des deux Kevin, Reynolds et Costner. Catapulté dès sa sortie vers les éminences couronnées de nuages auxquelles peuvent seuls prétendre les classiques irréfragables, le film a peu à peu vu son titre de swashbuckler quintessentiel lui filer telle une irritante savonnette entre les doigts, et barbote désormais dans le ruisseau à demi mort où s'agglutinent moult productions d'aventure grisâtres. Par contre, en cette ère de vaches maigres (cadavériques, même) pour les amateurs de voluptés symphoniques, la partition de Michael Kamen fait plus que jamais figure de merveille suprêmement ravigotante, comme notre cher vieux Totophe, méga-fan depuis toujours du génial et hirsute compositeur, s'est décidé à le rappeler aux étourdis éventuels.

Merci Christophe pour ce superbe texte!

Bravo ! Superbe en effet, et entièrement d'accord, ce double-album est indispensable !

Merci les gars !
Kamen était un génie. Il méritait bien, en tant que fan absolu, que je me penche un jour sur l'une de ses œuvres les plus ébouriffantes !

L'ami Lee a tronqué son katana de funeste réputation contre la faux tranchante de la Mort. Son maître à lui, Goldsmith, va vous faire suer de peur ou d'autre chose, selon que vous serez adepte de cette partition d'une aridité qui n'offre pas grand chose d'autre, à mes oreilles, qu'un très léger avant-goût de quelques figures de style du Roi californien en devenir.

'Tain, y'a pas à mégoter, tu connais les mots magiques pour transporter de délire notre gentil lectorat, ami Sam... Bon, ne m'en garde surtout pas rancoeur, mais je crois qu'un soupçon de réécriture s'impose. Ouvre grand les yeux et griffonne quelques notes :

"Non, bon peuple d'UnderScores, il convient de trompeter haut et fort que non, le vieux Van Cleef, contrairement à ce qu'allèguent par monts et par vaux de perfides rumeurs, n'est pas qu'un satyre ricanant et obsédé par l'idée de concourir au repeuplement massif de la planète. La preuve, votre hôte aujourd'hui n'est pas la bombastic Brigitte Lahaie, ni quelque autre princesse de la luxure vêtue des mêmes habits qu'au jour de sa naissance, mais le hiératique Boris Karloff. Avec l'inestimable assistance du jeune chien fou Jerry Goldsmith, le gentleman des ténèbres vous convie à la lecture de six contes terrifiants qui feront se recroqueviller votre virilité ainsi qu'un gastéropode au fin fond de sa coquille."



Voilà ! C'est quand même pas bien compliqué. Tu as encore beaucoup à apprendre, petit scarabée... Mais je conserve néanmoins à ton endroit une affection toute particulière, sache-le. Pour preuve, ce texte t'est fort amicalement dédié ("Hé-hé-hé", comme le glousserait la Vieille Sorcière).

Et hop, tout spécialement pour underscores, je vous présente mon petit article sur les comédies musicales égyptiennes

Bon là ce n'est que l'introduction. Le reste sera publié tout au cours de cet été. (Je pense qu'Hellboy va bien se casser le cul pour la mise en page ! Et peut-être aussi pour corriger quelques fautes d’orthographes) Pour l'occasion, j'ai même concocté une petite bande annonce que vous pouvez apprécier ici

Et vous savez quoi, j'ai même réussi à parler de Jerry Goldsmith

Dire que Pierrot me prend pour le saint patron des snobinards... Face à cet exquis voyage dans des contrées musicales dont UnderScores ne se serait jamais aventuré à supposer même vaguement l'existence, me voici terrassé à plate couture ! Pour mon plus vif plaisir, dois-je préciser, mes lèvres sèches incurvées d'un bout à l'autre de ma studieuse lecture en un sourire de gourdiflot. A l'image d'un Omar Sharif envoûté et comblé de l'être, le vieux Van Cleef, qui n'a bien sûr fait qu'une bouchée vorace de la vidéo ponctuant les festivités, s'est découvert incapable d'arracher son regard des charnels ondoiements cahotant de leurs adorables pied menus à leur crinière plus folle qu'une tempête les reines du Don du Nil. La suite, nom d'un katana drapé d'ailes d'Isis, la suite !

Bravo Julien ! Très belle entrée en matière d'un sujet dont je ne soupçonnais guère la richesse ici évoquée. Impatient de lire la suite. Merci à toi de nous faire partager ce sujet très intéressant.

L'ami Juju, toujours occupé à siroter au pied des pyramides une grenadine avec ombrelle, nous invite cette semaine à honorer d'un courtois baise-main une cantatrice de légende. Comme précédemment, ça déborde d'érudition, ça titille la curiosité alors que les pièces d'archive manquent pour la rassasier pleinement, ça fait flotter sur UnderScores un séduisant parfum d'exotisme... Mais c'est aussi, mille fois hélas, dénué de l'érotisme sensuel inondant le premier chapitre — et donc, carrément moins bien. Forcément.

Julien a écrit :Et hop, tout spécialement pour underscores, je vous présente mon petit article sur les comédies musicales égyptiennes

Bon là ce n'est que l'introduction. Le reste sera publié tout au cours de cet été. (Je pense qu'Hellboy va bien se casser le cul pour la mise en page ! Et peut-être aussi pour corriger quelques fautes d’orthographes) Pour l'occasion, j'ai même concocté une petite bande annonce que vous pouvez apprécier ici

Et vous savez quoi, j'ai même réussi à parler de Jerry Goldsmith

... Je suis tombé sur cette faute restée dans le texte : "ont davantage étaient privilégiés", à rectifier si possible !

La première vidéo est parfaite par ce temps, musicalement et visuellement ! Sur le fond, vu les titres des chapitres à venir, ça s'annonce instructif. Ce n'est pas un sujet que j'aurais songé à explorer à priori, bien que j'aime ces rythmes, donc bravo pour ce choix qui apporte de l'eau fraîche au moulin ; je crois que ça n'a pas été évident de rassembler les données. Et puis si tu évoques Goldsmith au passage, tu le fais aussi pour Rózsa, mon attention t'était donc acquise ! S'il a été mis à contribution "malgré lui" dans certains film, c'est un juste retour des choses, après tout lui ne s'est pas privé de piocher dans différents folklores et musiques anciennes pour ses films historiques, donc...

Encore bravo !

Dadid a écrit :... Je suis tombé sur cette faute restée dans le texte : "ont davantage étaient privilégiés", à rectifier si possible !

Si encore, cette sinistre coquille n'était pas accompagnée de cousins germains presque aussi ingrats... Mais j'ai depuis peu l'impression que notre diablotin écarlate, entre l'orthographe de ses disciples qu'il laisse aller à vau-l'eau et l'actuel UnderScorama presque entièrement vierge de sa méphistophélique présence, a urgemment besoin de goûter aux délices de quelque repos estival, on ne peut plus mérité bien sûr.

Sans parler de nos avatars qui disparaissent les uns après les autres Mais que se passe t'il ?
Est ce le fait d'avoir placé une compil' de chansons dans le palmares de la rédaction