
Lee : "Ami Janus, enfile ton pyjama, y'a baston !"
Janus : "Il va regretter la foudre des ninjas ce Sam !"
Me voici une fois de plus aussi dépourvu de ressort qu'un mollusque infortuné face à l'érudition dévoreuse de mondes de notre ami Janus... J'ignorais totalement que Baxter avait fricoté avec les tables de la Loi ! Néanmoins, et malgré toute la sympathie que m'inspire le riche corpus du monsieur, je doute qu'il soit parvenu à livrer une partition aussi phénoménalement riche que le grand oeuvre tétanisant de Morricone sur ce biblique sujet.Janus a écrit :J'ai failli me laisser tenter par son "Moïse" mais n'ai pas franchi le pas. Qu'en as-tu pensé?
A défaut du score, tu devrais au moins tenter de donner sa chance au film, asphyxiante réussite où brillent une incroyable Olivia de Havilland et, trouvant ici l'une de ses toutes premières apparitions à l'écran, James Caan en terrible chef de meute. Moi-même, qui admire Lady in a Cage depuis un bail, lui avais rendu il n'y a pas longtemps un modeste hommage. Gare, néanmoins ! Toute la scène finale y est balancée sans vergogne.Sam Lowry a écrit :Ce LADY IN A CAGE, j'avoue que je ne l'ai pas vu venir.
Dans le grand chaudron noirci du bis, aussi devrais-tu cesser de t'étonner d'y faire toujours de bien mauvaises rencontres, ne penses-tu pas ? Quelques autres spécimens purulents guettent encore ta venue, je le redoute fort, et t'occasionneront plus d'une misère avant que ne s'achève mon petit cycle aux miasmes délétères. Lequel, soupirons en choeur de soulagement, s'achemine paisiblement vers le point définitif.Sam Lowry a écrit :Punaise ! Je me demande bien où tu vas chercher toutes ces b.o., mon cher ninja arthritique !
Avant de songer à une éventuelle (et chaudement recommandée, par moi en tout cas) rencontre musicale avec ce drôle de monsieur, commence donc par ne plus affubler son patronyme d'un pied bot, bougre de malappris ! Et puisque c'est comme ça, je ne me fendrais même pas du traditionnel petit texte de présentation, aujourd'hui... Mais pour être honnête, sous le vernis de ma sensibilité outragée pointe un réconfort céleste, car dénicher une photo exploitable d'un truc aussi obscur n'a vraiment rien d'une sinécure, croyez-moi.Sam Lowry a écrit :Bien entendu, tout cela sans dire que je n'ai jamais entendu parler de ce monsieur Mirouze...
Par pitié débrancher le !Lee Van Cleef a écrit :Planquez les gosses, numérotez vos abattis et, tant que vous y êtes, cuirassez vos tympans d'acier insonorisé : le Maître en personne toise aujourd'hui de ses yeux globuleux les citoyens tremblants d'UnderScores. Quoi de plus normal ? Le vieux Van Cleef ne pouvait imaginer une seule nanoseconde qu'une rétrospective musicale se voulant bisseuse jusqu'à la moelle se passerait de l'auguste présence de Chuck Cirino. Au menu, forcément, abondent des robots fumasses, des épées sifflantes, des femmes bien sûr, tétons gonflés d'orgueil et toison au vent, et pour enluminer tout ce souk, l'inqualifiable musique du grand homme.
Un article d'un sérieux imperturbable (le grand paradoxe, c'est que j'ai mouillé ma liquette à force de rire) sur un artiste à écouter d'urgence ! J'en ai une furieuse envie maintenant !Lee Van Cleef a écrit :Planquez les gosses, numérotez vos abattis et, tant que vous y êtes, cuirassez vos tympans d'acier insonorisé : le Maître en personne toise aujourd'hui de ses yeux globuleux les citoyens tremblants d'UnderScores. Quoi de plus normal ? Le vieux Van Cleef ne pouvait imaginer une seule nanoseconde qu'une rétrospective musicale se voulant bisseuse jusqu'à la moelle se passerait de l'auguste présence de Chuck Cirino. Au menu, forcément, abondent des robots fumasses, des épées sifflantes, des femmes bien sûr, tétons gonflés d'orgueil et toison au vent, et pour enluminer tout ce souk, l'inqualifiable musique du grand homme.