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Du pur Morricone qui, tout en reprenant des manières directement issues de certaines de ses comédies-westerns passées (on pense en particulier à Occhio a la Penna ou Il mio Nome è Nessuno), permettait au métrage de Giovanni de s’élever vers une dimension supérieure, à la fois ludique, enthousiaste et contrastée. Quelques ajouts intéressants ici.
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Loin d’être des ruffians, les bons gars de chez MBR nous proposent une nouvelle édition bien garnie de ce film signé José Giovanni. Morricone nous régale avec cette partition éminemment plaisante et excitante, infusée de western et de polar d’antan. L’album nous offre moult variations, qui permettent de mieux appréhender la créativité du Maestro.
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En 1983, pour quelques milliers de lires, Ennio le ruffian livrait cette pochette pas-si-surprise-que-ça (pour lui) mais aux couleurs chatoyantes : cartes postales sud-américaines, western autoréférentiel (harmonica), romantisme fleur bleue, suspense de polar… Intégrale répétitive, mais l’aventure ça commence par un bon sac à dos !
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Au menu, de l’action, du western, de la romance, et un peu de rabe, tabarnak ! On imagine aisément le plaisir qu’ont eu Ventura et Giraudeau à s’assoir à cette table. Monsieur Ennio, le compositeur de B.O. le plus réédité : un album par jour ! Un café et l’addition siou plaît !
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