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Figures syncopées, pulsations et effets synthétiques, piano martelant les graves, timbales et caisses claires… : un « petit » Goldsmith sans trop d’atours séduisants et un peu trop répétitif, mais qui sous des allures éminemment fonctionnelles, offre un suspense/action implacable (proche des derniers Star Trek). Une rigueur qu’on ne se lasse pas d’admirer.
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Clairement pas un sommet de la carrière de Goldsmith, et pourtant, il y a là tellement plus de relief, de plaisir à composer, de métier et de joie ludique à illustrer des images que chez presque tous les compositeurs d’action contemporain, qu’on ne peut que sortir enchanté de l’écoute.
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Vingt-deux ans après un CD n’offrant que 30 minutes, Varèse sort enfin ce score dans une édition digne de ce nom, totalisant 75 minutes. Née durant une ère riche en films d’action musicalisés par Big Jerry, cette partition ne fait pas pâle figure. Explosive et virile, elle me met les oreilles en joie. Allez, pour vous, je remonte le son de mon ampli Marshall !
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Le film reprend le personnage du marshal de The Fugitive, mais il ne faut pas comparer ces deux scores qui n’ont rien à voir : le premier est un chef d’œuvre de JNH, celui de Goldsmith, bien que comportant quelques belles pièces d’action, peine à trouver sa route. Goldsmith en pilote automatique, mais Goldsmith quand même…
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Pas super fan de cette B.O., même si j’aime bien, Goldsmith oblige. Le premier album était sympa, celui-ci est un peu trop redondant à mon goût. Il n’empêche : quelle maestria dans le crescendo et la tension. Imparable. Et je trouve le film assez réussi pour une séquelle d’un gros succès.
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