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L’une des partitions les plus importantes de James Horner, qui lui permit en son temps de graver dans le marbre ce style inimitable qui allait devenir célèbre deux ans plus tard. L’émotion, belle et sincère, est toujours aussi forte vingt ans après, même si certaines textures électroniques (heureusement assez rares) ont pris un petit coup de vieux.  |
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L’une des partitions les plus abouties du compositeur du point de vue de la progression émotionnelle, celle qui aurait dû lui valoir l’Oscar cette année-là. On peut donc se réjouir de cette nouvelle présentation, même s’il faut bien reconnaître aussi que l’album d’origine était excellent et qu’on peut toujours s’en contenter aujourd’hui.  |
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Une partition épique qu’on ne présente plus, et que l’on retrouve ici dans sa totalité. Du plaisir pur jus.  |
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Allez, encore une réédition à rallonge d’un superbe score dont l’album d’époque était déjà bien fichu… Mais là, c’est plus fort que moi, je ne peux résister. Autant d’émotions à fleur de peau, ici décuplées ici par une reconstitution substantielle, c’est simplement pétrifiant de beauté.  |
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Un chef d’œuvre reste un chef d’œuvre, qu’il soit sur un ou plusieurs disques, et cette nouvelle édition est là pour nous le rappeler. Horner est un génie de la composition à l’image qui à tant apporté au film de Mel Gibson : du cœur au sein d’une barbarie effrayante. Oui, il va nous manquer, c’est sûr.  |
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Je craignais de trouver le temps long avec cette version complète, déjà que l’album d’époque… Et non ! La partition s’en trouve étonnement renforcée au contraire. Sa dramaturgie, totalement déployée, s’expose telle une fresque d’une force émotionnelle peu commune. Et le nouveau mixage est un bonheur.  |