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La sensualité n’aura jamais été aussi élégante que sous la plume experte de Barry, et l’on est volontiers séduit par cette gracieuse partition. Mais soixante-quatorze minutes de variations sur un thème unique peuvent finir par lasser…  |
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Le romantisme désenchanté qui, deux ans plus tôt, convenait à merveille au personnage de Chaplin est un peu galvaudé dans ce contexte. Du pur Barry de l’époque, mais pas forcément le plus passionnant non plus.  |
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Barry ne sortait pas l’artillerie lourde, mais écrivait néanmoins un score touchant, débordé par la noirceur sulfureuse du thème. La subtilité reste son plus grand talent, et il est facile d’imaginer ce qu’un Zimmer-man aurait pondu à la place…  |
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Tout ce qu’on connaît du compositeur, en moins bien. Désolé hein, mais ce genre de commande traitée par Sir Barry, pour moi ça ne vaut pas le coup.  |
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Comme d’habitude, une très belle musique, typique de Barry. Mais il y a bien mieux ailleurs, surtout qu’ici, le programme finit vite par être soporifique. Dommage !  |
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Un Barry très romantique, charmeur, raffiné, jouant habilement sur les timbres satinés, parfois avec une certaine ambiguïté. On pourra finir par trouver le temps long cependant, comme des préliminaires qui s’éternisent…  |
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Une bien belle édition d’un Barry typique de la période, joli et nostalgique, mais qui manque du petit truc en plus qui l’aurait fait basculer dans le très haut du panier. Conservez l’édition d’origine, dont le compositeur s’est occupé.  |