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C’est passionnant de pouvoir ainsi comparer les deux approches : celle de Goldsmith, plus immédiate et rentre-dedans, avec des pièces d’action incroyables, et celle de Jarre, plus dramatique, voire épique, puissante et magnifiquement old school. Un must have !  |
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Goldsmith assure en pro son suspense, mais son approche dictée par les aléas de la production ne saurait rivaliser avec celle, bouillonnante de vie, d’un Jarre qui semble avoir fait du qualificatif « wild » la vraie note d’intention de sa partition.  |
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Un double album de cette trempe mérite votre attention. D’un côté, pour le plaisir de la partition complète de Goldsmith, et de l’autre, pour la découverte du score rejeté de Jarre, d’une efficacité absolue. Achetez-le, sinon vous êtes virés.  |
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Sans confronter les deux géants, on s’aperçoit que le score de Goldsmith est beaucoup plus vendeur que celui de Jarre qui, s’il est moins « efficace », prend nettement plus de risques. En tout cas, cette présentation par Intrada est la bienvenue à plus d’un titre.  |
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Dans le coin droite, nous avons le poids lourd Goldsmith. Et à gauche, nous avons l’outsider Jarre. Le combat est rude, mais le premier obtient un KO technique sur le second. Un combat sympathique mais pas inoubliable pour autant.  |
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Génialoïde ! Deux scores classes pour le prix d’un… et demi. Un Jerry archétypal des annés 90. Se boit comme du petit lait. Maurice Jarre, en plus d’un thème façon « grands espaces » réussi, s’éclate aux percus. Un vrai bonheur.  |
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Un Goldsmith redoutable d’efficacité, qui utilise et altère de fort belle manière la mélodie classique The Water Is Wide. Et sans doute un des plus beaux scores tardifs de Jarre, sublimant la beauté et la cruauté de la nature.  |