Sondage : John Williams (1990-1999)
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- Wrong Man
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Re: Sondage : John Williams (1990-1999)
si si c'est très bien formulé, merci d'avoir pris le temps de répondre!
tu as raison concernant le côté guimauve, d'ailleurs j'ai récemment écouté quelques morceaux de Howard Hanson qui me plaisent beaucoup malgré leur côté totalement guimauve, et j'aime bien le côté guimauve grands espaces d'un LEGENDS OF THE FALL, mais c'est vrai que je le qualifierais un peu de plaisir coupable.
Je me suis un peu acharné sur HOOK parce qu'en faisant le listing de mes CDs à revendre j'y ai vu l'oeuvre typique bien foutue, qui m'avait plu pendant longtemps, mais dont je trouvais alors qu'elle ne m'apportait plus grand chose ou qu'elle ne correspondait plus à mon état d'esprit actuel (qui lorgnerait plutôt vers un WAR OF THE WORLDS).
Ceci dit, le fait d'en parler comme tu l'as fait m'a remémoré que j'aimais beaucoup "Farewell Neverland" (merci AGNES OF GOD de Delerue) et "Remembering Childhood" : un beau morceau de tendresse pour citer le termes que tu as employé à juste titre, à l'instar de "The Beginning of a Friendship" (E.T.) ou "Remembering Petticoat Lane" (JURASSIC PARK), j'adore ce côté là de Williams. Peut-être me suis-je trop focalisé sur l'aspect "We Don't Want to Grow Up" et "When You're Alone" un peu trop cucul à mon goût, et sur le fait que je n'aimais pas le film. Reste que je trouve que quelque chose manque à HOOK (ou HOME ALONE) par rapport à E.T. ou A.I. malgré les similitudes... peut-être un peu trop "Walt Disney" à mon goût (le côté "The Never-Feast" qui finit par me gaver un peu).
Pour finir, j'avoue ne pas être sensible au côté guimauve des compositeurs du Golden Age : quand Waxman ou Korngold versent là dedans, je m'ennuie un peu, d'ailleurs je connais mal cet aspect car ça m'a rebuté assez rapidement. Strauss, je ne connais quasiment pas donc je passe.
En tout cas, merci encore pour ta réponse, je vais me réécouter "Remembering Childhood" et je pense que j'aurai aussi le sentiment agréable de l'enfance, sans le côté régressif. D'ailleurs, je pense que ma réaction à ton précédent post était due aux termes employés ("guimauve") mais si tu avais écrit "tendre" j'aurais, comme tu le sais maintenant, acquiescé!
tu as raison concernant le côté guimauve, d'ailleurs j'ai récemment écouté quelques morceaux de Howard Hanson qui me plaisent beaucoup malgré leur côté totalement guimauve, et j'aime bien le côté guimauve grands espaces d'un LEGENDS OF THE FALL, mais c'est vrai que je le qualifierais un peu de plaisir coupable.
Je me suis un peu acharné sur HOOK parce qu'en faisant le listing de mes CDs à revendre j'y ai vu l'oeuvre typique bien foutue, qui m'avait plu pendant longtemps, mais dont je trouvais alors qu'elle ne m'apportait plus grand chose ou qu'elle ne correspondait plus à mon état d'esprit actuel (qui lorgnerait plutôt vers un WAR OF THE WORLDS).
Ceci dit, le fait d'en parler comme tu l'as fait m'a remémoré que j'aimais beaucoup "Farewell Neverland" (merci AGNES OF GOD de Delerue) et "Remembering Childhood" : un beau morceau de tendresse pour citer le termes que tu as employé à juste titre, à l'instar de "The Beginning of a Friendship" (E.T.) ou "Remembering Petticoat Lane" (JURASSIC PARK), j'adore ce côté là de Williams. Peut-être me suis-je trop focalisé sur l'aspect "We Don't Want to Grow Up" et "When You're Alone" un peu trop cucul à mon goût, et sur le fait que je n'aimais pas le film. Reste que je trouve que quelque chose manque à HOOK (ou HOME ALONE) par rapport à E.T. ou A.I. malgré les similitudes... peut-être un peu trop "Walt Disney" à mon goût (le côté "The Never-Feast" qui finit par me gaver un peu).
Pour finir, j'avoue ne pas être sensible au côté guimauve des compositeurs du Golden Age : quand Waxman ou Korngold versent là dedans, je m'ennuie un peu, d'ailleurs je connais mal cet aspect car ça m'a rebuté assez rapidement. Strauss, je ne connais quasiment pas donc je passe.
En tout cas, merci encore pour ta réponse, je vais me réécouter "Remembering Childhood" et je pense que j'aurai aussi le sentiment agréable de l'enfance, sans le côté régressif. D'ailleurs, je pense que ma réaction à ton précédent post était due aux termes employés ("guimauve") mais si tu avais écrit "tendre" j'aurais, comme tu le sais maintenant, acquiescé!
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Re: Sondage : John Williams (1990-1999)
plutôt d'accord! en fait, à part le thème de Qui-Gon (la version de "Qui Gon and Darth Maul Meet" je crois), je trouve qu'on s'ennuie pas mal ou que ça sent le réchauffé. En fait, à part le III...Hicks a écrit :star Wars justement avec un score assez pauvre, que ce soit sur le simple ou le double, même si Duel of fates est mémorable, mais bon on peut pas en dire autant du reste du score.
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Re: Sondage : John Williams (1990-1999)
C'est bien dommage de constater qu'une partition comme Sleepers ne recueille qu'un seul suffrage. Pareil pour des scores plus secrets comme Presumed Innocent ou Stanley & Iris. Visiblement, il faut que Williams fasse du bruit pour être populaire.
Ceci étant dit, j'adore la partition de Hook, pour toutes les raisons citée plus haut.
Ceci étant dit, j'adore la partition de Hook, pour toutes les raisons citée plus haut.
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Re: Sondage : John Williams (1990-1999)
effectivement, des oeuvres un peu plus "souterraines" comme ROSEWOOD et PRESUMED INNOCENT recèlent des thèmes principaux superbes et permettent de découvrir une facette différente et rare de Williams. A part les thèmes, j'ai un peu de mal à m'enthousiasmer, mais je le redis : ceux-ci sont magnifiques!
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Re: Sondage : John Williams (1990-1999)
Hook évidemment, Jurassic Park et Star Wars 1 ensuite. Après moultes hésitations, Sleepers et Home Alone 2, mais beaucoup d'autres sont excellets aussi...
Re: Sondage : John Williams (1990-1999)
j'ai voté avec un gros pincement au coeur....car pour moi cette décennie représente un tel aboutissement de l'écriture de Williams, un tel niveau d'excellence (qui continuera la décennie suivante !!!) que choisir 5 partitions relève de l'hérésie absolue....
donc les fabulous five
Far & Away : car John Williams a le sens de l'histoire populaire, et ce côté livre d'enfant de ce très beau film, car il a fait mieux que ne l'aurait fait Horner sur ce film de Ron Howard (et on peut apprécier son clin d'oeil à Percy Grainger !)
JFK : une des partitions chocs pour moi après Born on the fourth of July. Arlington reste un sommet absolu d'émotions, le thème principal est un très bel hommage à l'idéalisme politique du procureur Garisson
Rosewood : parce que c'est une partition que je redécouvre toujours avec un bonheur fou, par la qualité de son écriture, les mélanges instrumentaux, la puissance du gospel...Je pense que Marsalis ne devait pas arriver à ce sommet d'émotion, alors merci merci à John Singleton d'avoir demandé à John un replacement score d'une telle beauté !!!
Schindler's list : bon ben voilà avec ce film et cette partition c'est le sommet mystique....C'est une expérience à vivre...la profondeur de cette expérience humaine filmée par Spielberg a été un tournant pour lui, John si je me souviens bien a été intimidé par le sujet...Résultat : cette œuvre c'est la modestie du génie. Une œuvre grande et belle, respectueuse, sentimentale comme le chant de la culture Ashkenaze d'Europe centrale et orientale...
approche qui n'est pas tombée dans l'oreille d'un sourd, n'est ce pas Mr Horner ?
J'ai une passion pour cette musique qui me donne des frissons et me met un peu dans un état second. Pour moi, elle dépasse le simple cadre de la musique de film et touche à quelque chose de plus intense. Tout est beau dans l'album, mais je pourrai citer des pièces immenses comme Immolation, remembrances, Schindler's workforce (et ce côté Kilar !) Jerusalem of Gold de Naomi Shemer....
et enfin je ne saurai me passer de la virtuosité et de la richesse orchestrale de The Phantom Menace. Déjà le film dépassait esthétiquement la trilogie des années 80 (je ne suis pas fan hardcore de Star Wars donc je n'avais pas d'attente particulière , d'où la belle redécouverte de cet univers)
la musique, elle, progresse logiquement avec le talent toujours évolutif du maestro. Peut-être que l'on atteint pas le maître étalon de Empire strikes back, mais globalement l'écriture a été tellement approfondie que la musique de cette nouvelle trilogie dépasse finalement la précédente
et quand je lis par ci par là des termes comme "guimauve" à propos de l'écriture romantique ou post-romantique, Korngold, Waxman ou Howard Hanson, je trouve le terme bien trivial et peu respectueux de la musique....Je comprends très bien ce que l'on veut dire mais le terme de guimauve.....merde quoi ! C'est nul ! On remercie la musique sérielle de nous avoir fait oublier notre héritage européen ??? Musique "guimauve", musique "pompière"....fallait les inventer ceux là, merci la secte de la musique chiante !
Ha oui, mais c'est vrai nous sommes dans la vieille Europe, où le cynisme élitiste condescendant se gargarise de culture "sérieuse" et austère.....ou le citoyen "cultivé" doit s'excuser d'être émue comme un moine du Moyen-âge rougirait d'avoir une émotion, alors le sentimentalisme ou le lyrisme c'est vulgaire, c'est "guimauve"...belle amnésie ! A se demander pourquoi la musique de film fascine tant après la domination culturelle d'avant-gardes émotionnellement pauvres, desséchées, rabougries...
donc les fabulous five
Far & Away : car John Williams a le sens de l'histoire populaire, et ce côté livre d'enfant de ce très beau film, car il a fait mieux que ne l'aurait fait Horner sur ce film de Ron Howard (et on peut apprécier son clin d'oeil à Percy Grainger !)
JFK : une des partitions chocs pour moi après Born on the fourth of July. Arlington reste un sommet absolu d'émotions, le thème principal est un très bel hommage à l'idéalisme politique du procureur Garisson
Rosewood : parce que c'est une partition que je redécouvre toujours avec un bonheur fou, par la qualité de son écriture, les mélanges instrumentaux, la puissance du gospel...Je pense que Marsalis ne devait pas arriver à ce sommet d'émotion, alors merci merci à John Singleton d'avoir demandé à John un replacement score d'une telle beauté !!!
Schindler's list : bon ben voilà avec ce film et cette partition c'est le sommet mystique....C'est une expérience à vivre...la profondeur de cette expérience humaine filmée par Spielberg a été un tournant pour lui, John si je me souviens bien a été intimidé par le sujet...Résultat : cette œuvre c'est la modestie du génie. Une œuvre grande et belle, respectueuse, sentimentale comme le chant de la culture Ashkenaze d'Europe centrale et orientale...
approche qui n'est pas tombée dans l'oreille d'un sourd, n'est ce pas Mr Horner ?
J'ai une passion pour cette musique qui me donne des frissons et me met un peu dans un état second. Pour moi, elle dépasse le simple cadre de la musique de film et touche à quelque chose de plus intense. Tout est beau dans l'album, mais je pourrai citer des pièces immenses comme Immolation, remembrances, Schindler's workforce (et ce côté Kilar !) Jerusalem of Gold de Naomi Shemer....
et enfin je ne saurai me passer de la virtuosité et de la richesse orchestrale de The Phantom Menace. Déjà le film dépassait esthétiquement la trilogie des années 80 (je ne suis pas fan hardcore de Star Wars donc je n'avais pas d'attente particulière , d'où la belle redécouverte de cet univers)
la musique, elle, progresse logiquement avec le talent toujours évolutif du maestro. Peut-être que l'on atteint pas le maître étalon de Empire strikes back, mais globalement l'écriture a été tellement approfondie que la musique de cette nouvelle trilogie dépasse finalement la précédente
et quand je lis par ci par là des termes comme "guimauve" à propos de l'écriture romantique ou post-romantique, Korngold, Waxman ou Howard Hanson, je trouve le terme bien trivial et peu respectueux de la musique....Je comprends très bien ce que l'on veut dire mais le terme de guimauve.....merde quoi ! C'est nul ! On remercie la musique sérielle de nous avoir fait oublier notre héritage européen ??? Musique "guimauve", musique "pompière"....fallait les inventer ceux là, merci la secte de la musique chiante !
Ha oui, mais c'est vrai nous sommes dans la vieille Europe, où le cynisme élitiste condescendant se gargarise de culture "sérieuse" et austère.....ou le citoyen "cultivé" doit s'excuser d'être émue comme un moine du Moyen-âge rougirait d'avoir une émotion, alors le sentimentalisme ou le lyrisme c'est vulgaire, c'est "guimauve"...belle amnésie ! A se demander pourquoi la musique de film fascine tant après la domination culturelle d'avant-gardes émotionnellement pauvres, desséchées, rabougries...
BRAINSTORM main title (James Horner)
http://www.youtube.com/watch?v=HMj_80T6cyg
Film composer great Elmer Bernstein (Magnificent Seven, To Kill A Mockingbird) once said to me, “The dirty little secret is that we’re not musicians – we’re dramatists.”(Michael E Levine)
http://www.youtube.com/watch?v=HMj_80T6cyg
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Re: Sondage : John Williams (1990-1999)
Et à part ça, le dimanche, tu prends l'apéro?
"*I* shall not be back... but something will."
Re: Sondage : John Williams (1990-1999)
Je sais pas trop qui tu vises par là:
Et d'ailleurs:
Mais de toutes façons toute cette histoire, même dans les milieux les plus esthètes (à part peut-être à un ou deux énergumènes près), n'est pas à prendre au premier degré, bien loin de là, il s'agit davantage d'une sorte de taquinerie réccurente mais tout ce qu'il y a de plus cordial et inoffensif !
Donc ne te formalise pas de la sorte ! D'autant qu'en profiter pour incriminer la musique moderne, c'est pas la meilleure plaidoirie qui soit*...
Chaque esthétique génère des impressions/sentiments et un impact qui lui sont tout à fait caractéristiques (même s'il peut y avoir mélanges et interactions entres), et perso je suis autant accro à l'esthétique romantique/post-romantique la plus passionnée qu'à l'esthétique impressionniste (et ses déclinaisons) coloriste, chatoyante et/ou mystérieuse... ou bien encore aux univers modernes, abstraits, les plus fous et vertigineux ! Honnêtement, je crois qu'il faut davantage se réjouir de cette diversité, de cette richesse, plutôt que de les monter les unes contre les autres comme tu le faisais à moitié dans ton précédent post .
* à mon avis, c'est davantage l'apparition de la musique impressionniste la plus raffinée qui a contribué à incriminer le pathos le plus exacerbé (et encore, davantage à la manière d'une plaisanterie que de quelque chose de vraiment sérieux si tu veux mon avis )... Donc tu vois ça remonterait au tout début du 20ème plutôt qu'en son centre géographique . Or je n'imagine pas que tu irais jusqu'à incriminer l'impressionnisme non ?
Mais justement, si tu as lu, tu as du remarquer que le post-romantisme post-Straussien hyper passionné est précisément une esthétique que j'adore (et qu'accessoirement, Waxman est un monsieur que je porte très haut dans mon estime) !Walden a écrit :...et quand je lis par ci par là des termes comme "guimauve" à propos de l'écriture romantique ou post-romantique, Korngold, Waxman ou Howard Hanson...
Et d'ailleurs:
Tu vois bien que tu uses pile poil des même termes (quasiment à la virgule près ) que ceux que l'on retrouve dans mon précédent message.Walden a écrit :... Je comprends très bien ce que l'on veut dire...
Mais de toutes façons toute cette histoire, même dans les milieux les plus esthètes (à part peut-être à un ou deux énergumènes près), n'est pas à prendre au premier degré, bien loin de là, il s'agit davantage d'une sorte de taquinerie réccurente mais tout ce qu'il y a de plus cordial et inoffensif !
Donc ne te formalise pas de la sorte ! D'autant qu'en profiter pour incriminer la musique moderne, c'est pas la meilleure plaidoirie qui soit*...
Chaque esthétique génère des impressions/sentiments et un impact qui lui sont tout à fait caractéristiques (même s'il peut y avoir mélanges et interactions entres), et perso je suis autant accro à l'esthétique romantique/post-romantique la plus passionnée qu'à l'esthétique impressionniste (et ses déclinaisons) coloriste, chatoyante et/ou mystérieuse... ou bien encore aux univers modernes, abstraits, les plus fous et vertigineux ! Honnêtement, je crois qu'il faut davantage se réjouir de cette diversité, de cette richesse, plutôt que de les monter les unes contre les autres comme tu le faisais à moitié dans ton précédent post .
* à mon avis, c'est davantage l'apparition de la musique impressionniste la plus raffinée qui a contribué à incriminer le pathos le plus exacerbé (et encore, davantage à la manière d'une plaisanterie que de quelque chose de vraiment sérieux si tu veux mon avis )... Donc tu vois ça remonterait au tout début du 20ème plutôt qu'en son centre géographique . Or je n'imagine pas que tu irais jusqu'à incriminer l'impressionnisme non ?
Re: Sondage : John Williams (1990-1999)
cigarillos, whisky et petites pépées !!!Emissary a écrit :Et à part ça, le dimanche, tu prends l'apéro?
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Re: Sondage : John Williams (1990-1999)
désolé bonhomme ! C'est comme ça ! La question n'est pas de diviser les esthétiques (je crois avoir prouvé de nombreuses fois mon intérêt pour la musique au sens large) mais il y a des mots, en France, qui reflètent des préjugés trop ancrés dans ce pays élitiste (un aspect que nous abhorrons tous semble t-il !), associés à la Musique que je n'aime pas ! Guimauve en fait partie ! je trouve le terme médiocre....Taboulez a écrit :Je sais pas trop qui tu vises par là:Mais justement, si tu as lu, tu as du remarquer que le post-romantisme post-Straussien hyper passionné est précisément une esthétique que j'adore (et qu'accessoirement, Waxman est un monsieur que je porte très haut dans mon estime) !Walden a écrit :...et quand je lis par ci par là des termes comme "guimauve" à propos de l'écriture romantique ou post-romantique, Korngold, Waxman ou Howard Hanson...
Et d'ailleurs:Tu vois bien que tu uses pile poil des même termes (quasiment à la virgule près ) que ceux que l'on retrouve dans mon précédent message.Walden a écrit :... Je comprends très bien ce que l'on veut dire...
Mais de toutes façons toute cette histoire, même dans les milieux les plus esthètes (à part peut-être à un ou deux énergumènes près), n'est pas à prendre au premier degré, bien loin de là, il s'agit davantage d'une sorte de taquinerie réccurente mais tout ce qu'il y a de plus cordial et inoffensif !
Donc ne te formalise pas de la sorte ! D'autant qu'en profiter pour incriminer la musique moderne, c'est pas la meilleure plaidoirie qui soit*...
Chaque esthétique génère des impressions/sentiments et un impact qui lui sont tout à fait caractéristiques (même s'il peut y avoir mélanges et interactions entres), et perso je suis autant accro à l'esthétique romantique/post-romantique la plus passionnée qu'à l'esthétique impressionniste (et ses déclinaisons) coloriste, chatoyante et/ou mystérieuse... ou bien encore aux univers modernes, abstraits, les plus fous et vertigineux ! Honnêtement, je crois qu'il faut davantage se réjouir de cette diversité, de cette richesse, plutôt que de les monter les unes contre les autres comme tu le faisais à moitié dans ton précédent post .
* à mon avis, c'est davantage l'apparition de la musique impressionniste la plus raffinée qui a contribué à incriminer le pathos le plus exacerbé (et encore, davantage à la manière d'une plaisanterie que de quelque chose de vraiment sérieux si tu veux mon avis )... Donc tu vois ça remonterait au tout début du 20ème plutôt qu'en son centre géographique . Or je n'imagine pas que tu irais jusqu'à incriminer l'impressionnisme non ?
en parlant d'impressionnisme, tu parles sûrement de l' "opposition" Debussy+Stravinsky / Wagner ? Je ne remonterai pas si loin ! Pour moi le divorce absolu ce sont les fifties !
Summon the heroes !
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- Misquamacus
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Re: Sondage : John Williams (1990-1999)
Même pas en rêve je vote, les gars. Même pas en rêve.
C'est comme me demander de choisir entre mes gosses.
ça va pas non ?!?
C'est comme me demander de choisir entre mes gosses.
ça va pas non ?!?
« Je ne connais pas la moitié d’entre vous autant que je le voudrais et j’aime moins de la moitié d’entre vous à moitié moins que vous ne le méritez ! »
Re: Sondage : John Williams (1990-1999)
le soleil baigne le balcon, ya le whisky et le cigarillo....tu vas pas retourner sur underscores ?Misquamacus a écrit :Même pas en rêve je vote, les gars. Même pas en rêve.
C'est comme me demander de choisir entre mes gosses.
ça va pas non ?!?
Ben si, pour lire la belle intervention du grand sachem ! Qui a eu le courage....de ne pas choisir entre toutes ces beautés ! (ouiiinnnn....pourquoi ai je posté mon choix ??? )
JFK !!! (rhââââ c'est bon les sondages, ça donne envie de se faire une orgie de Williams !)
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- Misquamacus
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Re: Sondage : John Williams (1990-1999)
Mais où habites-tu mon bon Walden pour avoir un si beau temps ? Ici on a l'impression d'être dans un film de Danny Boon depuis le début du week... La loooooze !
« Je ne connais pas la moitié d’entre vous autant que je le voudrais et j’aime moins de la moitié d’entre vous à moitié moins que vous ne le méritez ! »
Re: Sondage : John Williams (1990-1999)
Tu en as tant que ça?C'est comme me demander de choisir entre mes gosses.
- DarkCat
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Re: Sondage : John Williams (1990-1999)
Oui, je crois avoir compris qu'il en faisait l'élevage, depuis plusieurs années. Il a même élevé des champions, qui lui ont rapporté une flopée de coupes.
Re: Sondage : John Williams (1990-1999)
j'ai profité des moments de soleil furtifs du 94 !Misquamacus a écrit :Mais où habites-tu mon bon Walden pour avoir un si beau temps ? Ici on a l'impression d'être dans un film de Danny Boon depuis le début du week... La loooooze !
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Re: Sondage : John Williams (1990-1999)
Encore un qui habite dans un nombre!
Est-ce que je dis habiter dans le 22, moi (indicatif genevois)?
Est-ce que je dis habiter dans le 22, moi (indicatif genevois)?
http://www.auparadoxeperdu.com/Top 5: 1° B. Herrmann 2° E. W. Korngold 3° J. Goldsmith 4° J. Williams 5° M. Rozsa.
- Misquamacus
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Re: Sondage : John Williams (1990-1999)
Absolument exact ! J'ai d'ailleurs passé mon samedi avec Claude Puel au stade de Gerland pour voir ma fifille !DarkCat a écrit :Oui, je crois avoir compris qu'il en faisait l'élevage, depuis plusieurs années. Il a même élevé des champions, qui lui ont rapporté une flopée de coupes.
(Beuuurk ! Du foot !)
« Je ne connais pas la moitié d’entre vous autant que je le voudrais et j’aime moins de la moitié d’entre vous à moitié moins que vous ne le méritez ! »