• Joe Hisaishi

J'ai commandé les deux très récemment, ça faisait un bail qu'un Hisaishi joli n'avait pas volé jusqu'à moi. Ce sera parfait pour les vacances !

A défaut d'avoir reçu à temps mon colis de chez Vasco contenant le coffret HP et autres gourmandises musicales, ce matin, au pied du sapin, j'ai fait la découverte d'un autre colis, plus petit certes, mais contenant la fameuse box Hisaishi-Miyazaki et ses 13 cd

... depuis 4 ans que j'attendais ce moment, quel bonheur!!!

Et un bonheur n'arrivant jamais seul : https://www.fnacspectacles.com/place-sp ... yTHFipeHjE

Misquamacus a écrit :Et un bonheur n'arrivant jamais seul : https://www.fnacspectacles.com/place-sp ... yTHFipeHjE

...eh bien, la deuxième quinzaine de Février 2019, ça promet d'être chaud à Lyon côté musique de films en version concert et ciné-concerts car, en plus de cette programmation, l'Auditorium de Lyon et l'Orchestre National de Lyon proposeront de leur côté 2 ciné-concerts Star Wars IV et V durant cette même période.... il va falloir faire des choix drastiques car entre Joe Hisaishi et John Williams, mon coeur balance.

bonjour, j'ai craqué:me voilà avec une place pour allé voir un maître !!!! Je suis dingue de Hisaishi! et cette collaboration promet en concert!!!

bonjour, j'ai craqué:me voilà avec une place pour allé voir un maître !!!! Je suis dingue de Hisaishi! et cette collaboration promet en concert!!! et merci pour l'info

Tu as bien fait ! J'ai aussi pris ma place à Paris. Je serai heureux de redécouvrir Hisaishi en concert. évidemment cette tournée s'annonce de proportions plus modestes que le gargantuesque "Live at Budokan", mais c'est finalement tant mieux, car chez Hisaishi la mélodie et la simplicité l'emportent toujours sur la masse.

Après les jeux vidéo "Ni No Kuni" 1 et 2, Joe Hisaishi a composé la musique pour le film "Ni No Kuni". Reste à savoir s'il va reprendre des thèmes composés pour les jeux ou s'il va créer une BO 100% inédite.
Comme pour les jeux, j'espère que nous aurons le droit à une édition française chez Wayô Records.

DarkCat a écrit :Après les jeux vidéo "Ni No Kuni" 1 et 2, Joe Hisaishi a composé la musique pour le film "Ni No Kuni". Reste à savoir s'il va reprendre des thèmes composés pour les jeux ou s'il va créer une BO 100% inédite.
Comme pour les jeux, j'espère que nous aurons le droit à une édition française chez Wayô Records.

J'ai pu écouter l'album et ma foi rien de transcendant par rapport aux musiques des jeux. Les thèmes sont moins présents mis à part en fin d'album, la musique est moins puissante et colorée, plus moderne aussi par moments. J'ai trouvé l'album un peu longuet. Bref petite déception car la musique est beaucoup moins prenante et thématique.

C'est tout heureux que j'ai offert, à un pote, un CD de la célèbre violoncelliste FUJIWARA Mari.
Je partais confiant, car l'album "Message of Winds", édité par Denon, est produit et arrangé par Joe Hisaishi (1989).
Au niveau des musiciens, on a, en plus de la violoncelliste, Maître Joe au synthé et SANDO Satoshi au piano, avec HANEDA Kentaro en pianiste invité pour l'occasion.
Bref, tout était là pour faire un petit cadeau sympa.
Mon pote met donc le CD dans son lecteur et là, ce fut le drame.

Il a tout simplement détesté.
Au lieu de jeter le disque, il a eu la bonne idée de me le renvoyer pour que j'écoute la chose.

Et heureusement, car j'ai finalement bien aimé. Alors oui, le synthé pique un peu les oreilles à la première écoute, mais honnêtement, je m'y suis fait assez rapidement. L'ensemble est calme et assez zen. On y trouve des œuvres classiques, du Hisaishi bien-sûr et même "Imagine". Donc, sans être un chef-d'oeuvre intemporel, c'est un album qui s'écoute facilement.

A signaler en urgence: le groupe musical Grissini lance un crowdfunding pour un album "Ghibli/Hisaishi" où ils interprètent à leur façon (qui est vraiment, vraiment très bien) des pièces de Joe Hisaishi. La vidéo explicative est ici:
F**k Youtube
et le lien Indiegogo:
http://igg.me/at/theghiblialbum

Salut,

je me permets de partager avec vous l'un de mes titres préférés de Joe Hisaishi. Tellement poétique et apaisant à jouer!

https://youtu.be/WmUigVRxfrU

Je suppose que tu connais déjà les albums "Piano Stories" (quatre, il me semble) du Maître ?
Et si, par hasard, la réponse était non, cela devrait te plaire
- Piano Stories
- Piano Stories II: The Wind of Life
- Piano Stories III: Nostalgia
- Piano Stories 4: Freedom
Il y a aussi:
- Another Piano Stories: The End of the World

Super concert d'Hisaishi hier à la Philharmonie de Paris, avec l'Orchestre philharmonique de Strasbourg:

- Symphonie N°2
- [ Woman ] (Woman, Ponyo sur la falaise, Les Aventuriers) pour piano, harpe, percussion et cordes
- Princesse Mononoké (Suite symphonique, 2021) - Alexandra Marcellier, soprano

Et en rappel, Kiki (au piano seul), ainsi qu'un autre titre moins familier, que je n'ai pas reconnu.

Je craignais que la Symphonie (en trois mouvement seulement, Hisaishi en a écrit un quatrième mais l'a supprimé) soit une pièce quelque peu aride (même si Hisaishi, bon...), en fait non: c'était hyper rythmique, à la façon d'un John Adams ou d'autres compositeurs de mêmes influences, et très réussi. Comme j'étais au deuxième rang, le clarté de positionnement des instrumentistes accentuait le mouvement et les décalages des cellules rythmiques au sein de l'orchestre, d'une section à l'autre. L'ensemble était fascinant, avec un mouvement central presque dansant aux accents ponctuels d’Amérique du sud (en tout cas ça m'y a fait penser), qui renvoyaient à Copland, ou plus directement Revueltas, Marques, Vila-Lobos... Le dernier mouvement est une suite de variations sur une comptine japonaise, commençant et s'achevant par une basse solo, avec un résultat magique.

Mais c'est Mononoké qui a fait se lever la salle, pas besoin de décrire vous connaissez. La soprano était juste devant moi, elle a été parfaite (cette suite roborative de 25 mn inclut les deux chants).

Salle complète, grosse ambiance, superbe soirée !

Merci pour ce petit compte-rendu Dadid. Et pour ceux qui n'avaient pas la chance d'y être, pas de panique, voici le concert filmé par Arte :

Dadid a écrit : ↑dim. 8 mai 2022 09:52 Et en rappel, Kiki (au piano seul), ainsi qu'un autre titre moins familier, que je n'ai pas reconnu.

C'était Chihiro, pas Kiki (pour le concert de samedi soir en tout cas)

Exact !

Détail pittoresque: à 1h50 et 25" de la vidéo, on voit tout en bas vers la gauche gauche mon voisin de droite se pencher vers moi pour me demander si on ne devrait pas se lever, j’acquiesce, et comme nous l'avons fait, les autres ont suivi - beaucoup d'entre eux, voir le plan large suivant !

Le second rappel était donc World Dreams.

Par mes saintes cliques ! Le Paz' est parmi nous, en chair et en os ! Un concert en l'honneur de son totem animiste Joe Hisaishi aura donc été nécessaire pour le délivrer du coma (probablement éthylique, vous pouvez miser le paquet là-dessus, les aminches) dans les tréfonds duquel il gisait depuis maintes années.

On trouve aussi la vidéo du concert directement sur le site d'Arte.

Joe Hisaishi chez Deutsche Grammophon. Alors il n'y a rien de neuf à part peut-être l’intérêt que porte ce label de prestige pour sa musique.

Merci pour cette bonne nouvelle.

Dadid a écrit : ↑dim. 8 mai 2022 09:52 Super concert d'Hisaishi hier à la Philharmonie de Paris, avec l'Orchestre philharmonique de Strasbourg:

- Symphonie N°2
- [ Woman ] (Woman, Ponyo sur la falaise, Les Aventuriers) pour piano, harpe, percussion et cordes
- Princesse Mononoké (Suite symphonique, 2021) - Alexandra Marcellier, soprano

Et en rappel, Kiki (au piano seul), ainsi qu'un autre titre moins familier, que je n'ai pas reconnu.

Je craignais que la Symphonie (en trois mouvement seulement, Hisaishi en a écrit un quatrième mais l'a supprimé) soit une pièce quelque peu aride (même si Hisaishi, bon...), en fait non: c'était hyper rythmique, à la façon d'un John Adams ou d'autres compositeurs de mêmes influences, et très réussi. Comme j'étais au deuxième rang, le clarté de positionnement des instrumentistes accentuait le mouvement et les décalages des cellules rythmiques au sein de l'orchestre, d'une section à l'autre. L'ensemble était fascinant, avec un mouvement central presque dansant aux accents ponctuels d’Amérique du sud (en tout cas ça m'y a fait penser), qui renvoyaient à Copland, ou plus directement Revueltas, Marques, Vila-Lobos... Le dernier mouvement est une suite de variations sur une comptine japonaise, commençant et s'achevant par une basse solo, avec un résultat magique.

Mais c'est Mononoké qui a fait se lever la salle, pas besoin de décrire vous connaissez. La soprano était juste devant moi, elle a été parfaite (cette suite roborative de 25 mn inclut les deux chants).

Salle complète, grosse ambiance, superbe soirée !

J'étais aussi à ce concert, mais selon la position dans la salle on entendait pas aussi bien la soprano (elle chantait sans ampli, donc faut un sacré coffre quand tu as un orchestre complet à côté!). Et surtout j'étais très frustré que le thème principal (Ashitaka) ne soit joué qu'en ouverture dans sa version courte, et qu'il ne rejoue pas la evrsion longue du thème en final...
Du coup j'ai préféré le concert qu'il avait donné en 2019 dans cette même salle, selon la même struture, une oeuvre hors cinéma en première partie, puis il avait joué des morceaux de films de Kitano (dont le fameux Summer de l'été de Kikujiro, superbe), puis une longue suite sur Chihiro formidable... Et Totoro en dernier rappel

"Le John Williams japonais", nous rappelle DG dans sa promo, comme pour rappeler qu'ils n'honorent pas n'importe qui. Et oui, même des artistes populaires dans un domaine généralement honni des hautes sphères intellectuelles musicales, qui de surcroit ne se privent pas - horreur suprême - d'emprunter quelques recettes aux grands du noble Art, peuvent prétendre au ruban jaune. Et, oui, comme pour Williams, le programme destiné aux "non spécialistes" risque d'être fort rebattu (encore que, au moins, de nouveaux arrangements sont au programme). Le côté "médaille d'or" de ces éditions DG (sans doute voulu par quelque responsable marketing d'Universal Music pour renflouer les caisses) me fait toujours un peu sourire, mais bon, comme pour toute médaille, les compositeurs ne vont tout de même pas bouder leur plaisir - et nous non plus, car voilà l'occasion de savourer quelques "classiques" dans un nouvel habillage.

Joli !

Ne pas oublier que Hildur Guðnadóttir a aussi sa place dans le Saint des saints de la musique classique. Mais à coté de Mahler et Elgar ça change beaucoup de chose.
Mais pas que, puisque la femme a une place de plus en plus importante chez DG. Que ce soit les compositrices ou juste la direction d'orchestre.
D'ailleurs j'ai acheté récemment un disque DG consacré à Florence Price (1887-1953). Par curiosité, qui n'est pas forcement un vilain défaut.

Joe Hisaishi

Re: Joe Hisaishi

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